Reconnus par les Pouvoirs publics qui participent à leur financement, «France énergies marines» et «GreenStars» sont deux nouveaux Instituts d’excellence maritime. D’ici 2020, ils visent à développer de nouvelles techniques et ressources énergétiques à partir des richesses de la mer.
Fruit des travaux communs entre les pôles «Mer» Bretagne et Paca avec le concours du CMF, la création d’Instituts d’excellence maritime vise à conjuguer les efforts et ressources dans deux domaines. Dans les énergies décarbonées, le premier baptisé «France énergies marines» et dont le siège est à Brest doit aider à positionner la France parmi les leaders mondiaux des énergies marines renouvelables. Labellisé par les deux pôles, il mobilise des financements privés, institutionnels et de collectivités territoriales pour un montant total de 133,3 millions d'euros sur dix ans. À l’intérieur, l’État intervient via le programme «Investissements d’avenir» à hauteur de 34,3 millions d'euros contre 38 millions d'euros pour les collectivités et 61 millions d'euros pour les partenaires privés et parapublics. L’Institut «France énergies marines» regroupe 58 membres et concentre ses travaux dans quatre types d’énergies marines : l’éolien, l’hydrolien, l’énergie thermique et le houlomoteur.
Baptisé «GreenStars», le second Institut d’excellence maritime est labellisé par le pôle "Mer" Paca, Trimatec et IAR. Composé de plates-formes collaboratives implantées en régions Languedoc-Roussillon et en Paca, il rassemble tous les acteurs de la filière valorisation des micro-algues destinée à développer des biocarburants. Son périmètre couvre l’ensemble de la chaîne de valeur, de la sélection de souches jusqu’au raffinage en passant par la culture et l’extraction. Avec 45 partenaires privés et publics, GreenStars dispose d’un budget de 160 millions d'euros sur dix ans dont 24 millions d'euros apportés dans le cadre du programme «Investissements d’avenir».
Fruit des travaux communs entre les pôles «Mer» Bretagne et Paca avec le concours du CMF, la création d’Instituts d’excellence maritime vise à conjuguer les efforts et ressources dans deux domaines. Dans les énergies décarbonées, le premier baptisé «France énergies marines» et dont le siège est à Brest doit aider à positionner la France parmi les leaders mondiaux des énergies marines renouvelables. Labellisé par les deux pôles, il mobilise des financements privés, institutionnels et de collectivités territoriales pour un montant total de 133,3 millions d'euros sur dix ans. À l’intérieur, l’État intervient via le programme «Investissements d’avenir» à hauteur de 34,3 millions d'euros contre 38 millions d'euros pour les collectivités et 61 millions d'euros pour les partenaires privés et parapublics. L’Institut «France énergies marines» regroupe 58 membres et concentre ses travaux dans quatre types d’énergies marines : l’éolien, l’hydrolien, l’énergie thermique et le houlomoteur.
Baptisé «GreenStars», le second Institut d’excellence maritime est labellisé par le pôle "Mer" Paca, Trimatec et IAR. Composé de plates-formes collaboratives implantées en régions Languedoc-Roussillon et en Paca, il rassemble tous les acteurs de la filière valorisation des micro-algues destinée à développer des biocarburants. Son périmètre couvre l’ensemble de la chaîne de valeur, de la sélection de souches jusqu’au raffinage en passant par la culture et l’extraction. Avec 45 partenaires privés et publics, GreenStars dispose d’un budget de 160 millions d'euros sur dix ans dont 24 millions d'euros apportés dans le cadre du programme «Investissements d’avenir».