Comment ne plus avoir à composer avec des taux de fret d’une extrême volatilité, pouvant conduire au surmenage le plus vaillant des commissionnaires de transport ? Avec une nouvelle pratique commerciale, DB Schenker France croit avoir trouvé la parade depuis début novembre.
Depuis plusieurs mois voire plusieurs années, l’instabilité des taux de fret maritime, surtout à l’import d’Asie, représentait au quotidien le cauchemar des transitaires européens. Particulièrement redoutées, les fameuses General Rate Increases (GRI) décidées par les compagnies maritimes venaient sans prévenir plomber leurs tarifs commerciaux. À tout le moins les remettre en question. Face à ce casse-tête, DB Schenker pense avoir trouvé la parade en répondant par l’innovation commerciale. Le commissionnaire de transports propose depuis le 1er novembre à ses clients des offres calculées selon un pourcentage négocié du Shanghai Containerized Freight Index (SCFI). Cet indice publié chaque lundi matin fait référence dans la profession. Il recense les taux FAK (Freight All Kinds) pratiqués par une quinzaine d’armements sur leurs liaisons avec l’Asie. "Depuis un an et demi, les GRI impactaient nos offres tarifaires du simple au double, voire plus. La volatilité importante et soudaine des taux de fret était devenue quasiment la normalité alors même que nos clients et nos équipes commerciales n’étaient pas adaptés à la maîtrise de cette réalité. Avec le Nouvel An chinois, on pouvait redouter une nouvelle flambée comme nous l’avaient prouvé les précédentes années", explique Irwin Lefèbvre, directeur du Maritime pour la France chez DB Schenker SA.
La fin des calculs
Dans un tel contexte, une chose semble sûre : importateurs comme exportateurs, veulent des prix qui collent au marché. Alors comment s’y retrouver ? Comment proposer le bon taux, au bon moment ? "En négociant préalablement des pourcentages sur un indice que nul ne conteste dans la profession. Libre à chacun de prendre plus ou moins de risques", répond Irwin Lefèbvre.
Cette nouvelle pratique commerciale, qui défraye la chronique dans le milieu maritime, est en effet déclinée en plusieurs offres selon que le client choisit des mises à jours hebdomadaires, mensuelles, trimestrielles, semestrielles ou annuelles. DB Schenker promet ainsi la fin des calculs incessants "très chronophages" et des tarifs très compétitifs, "bien inférieurs aux taux FAK".
La fin des calculs
Dans un tel contexte, une chose semble sûre : importateurs comme exportateurs, veulent des prix qui collent au marché. Alors comment s’y retrouver ? Comment proposer le bon taux, au bon moment ? "En négociant préalablement des pourcentages sur un indice que nul ne conteste dans la profession. Libre à chacun de prendre plus ou moins de risques", répond Irwin Lefèbvre.
Cette nouvelle pratique commerciale, qui défraye la chronique dans le milieu maritime, est en effet déclinée en plusieurs offres selon que le client choisit des mises à jours hebdomadaires, mensuelles, trimestrielles, semestrielles ou annuelles. DB Schenker promet ainsi la fin des calculs incessants "très chronophages" et des tarifs très compétitifs, "bien inférieurs aux taux FAK".
