Plus tôt que prévu, la nouvelle usine du numéro un de la carrosserie frigorifique située à Saint-Eusèbe, près du Creusot-Montceau, vient de démarrer. D’ici 2019, 150 emplois directs seront créés et 50 emplois indirects, de sous-traitance, en bénéficieront.
Bien localisé à une heure de Saint-Cyr-sur-Menthon, siège social de Lamberet, à 1h15 de Paris et à 40 minutes de Lyon, le pôle industriel du Creusot-Montceau est un carrefour intermodal pratique et un riche bassin d’emplois.
Ce nouveau site de production de véhicules utilitaires frigorifiques de 15.000 m2 couverts sur 100.000 m2 de foncier, dont la réalisation avait été annoncée par Érick Méjean, lors du salon Solutrans de Lyon, en novembre 2015, vient de lancer, en avance sur le planning établi, sa première ligne d’assemblage de fourgons frigorifiques qui en comptera cinq dans quelques mois. Elle travaillera pour le marché européen.
Innovations en série
Cette usine se chargera de l’assemblage de fourgons, de la production de kits d’isolations intégrés, de la production de moules de panneaux pour les isolations et de l’assemblage de caisses frigorifiques. Elle a nécessité 10 millions d’euros d’investissement. "La moyenne des investissements de l’entreprise se situe autour d’un million, ce qui donne la mesure de l’enveloppe financière. Cette somme ne concerne pas seulement l’implantation de l’activité sur le site. Elle révèle un projet industriel pour augmenter la productivité et la capacité de production", observe la direction qui insiste sur les caractéristiques du chantier qui a combiné plusieurs innovations. Parmi celles-ci, les technologies Easy Fit, un système de montage des véhicules qui permet de multiplier par cinq la productivité (10 heures pour monter un véhicule contre 50 auparavant) ou encore une modification des moules qui réduit notablement l’investissement en outillages. Autre exemple, l'automatisation poussée d’un process de production très automatisé et utilisant des matières premières plus respectueuses de l’environnement.
Offre variée
La société Lamberet (chiffre d’affaires de plus de 160 millions d’euros) a l’avantage d’être présente sur l’intégralité des segments du transport frigorifique et d’être de plus en plus internationale. Sa diversification répond aux nouveaux modes de consommation et de distribution avec par exemple, d’un côté, ses véhicules légers d’un mètre cube qui rentrent dans les centres-villes et, de l’autre, des semi-remorques de 100 mètres cubes qui chargent la production de la criée en bord de mer et l’achemine près des villes.
D’ici 2019, ce sont 150 salariés qui seront formés à Saint-Eusèbe, des personnes sans qualification et d'autres en reconversion qui occuperont des postes de frigoristes, de conducteurs de machines automatiques, de programmateurs de commandes numériques, etc.
Pour son nouveau chantier, Lamberet a bénéficié du zèle des équipes d’Ecosphère, l’agence de développement économique du Creusot-Montceau, qui a contribué à l’optimisation de cette implantation.
Ce nouveau site de production de véhicules utilitaires frigorifiques de 15.000 m2 couverts sur 100.000 m2 de foncier, dont la réalisation avait été annoncée par Érick Méjean, lors du salon Solutrans de Lyon, en novembre 2015, vient de lancer, en avance sur le planning établi, sa première ligne d’assemblage de fourgons frigorifiques qui en comptera cinq dans quelques mois. Elle travaillera pour le marché européen.
Innovations en série
Cette usine se chargera de l’assemblage de fourgons, de la production de kits d’isolations intégrés, de la production de moules de panneaux pour les isolations et de l’assemblage de caisses frigorifiques. Elle a nécessité 10 millions d’euros d’investissement. "La moyenne des investissements de l’entreprise se situe autour d’un million, ce qui donne la mesure de l’enveloppe financière. Cette somme ne concerne pas seulement l’implantation de l’activité sur le site. Elle révèle un projet industriel pour augmenter la productivité et la capacité de production", observe la direction qui insiste sur les caractéristiques du chantier qui a combiné plusieurs innovations. Parmi celles-ci, les technologies Easy Fit, un système de montage des véhicules qui permet de multiplier par cinq la productivité (10 heures pour monter un véhicule contre 50 auparavant) ou encore une modification des moules qui réduit notablement l’investissement en outillages. Autre exemple, l'automatisation poussée d’un process de production très automatisé et utilisant des matières premières plus respectueuses de l’environnement.
Offre variée
La société Lamberet (chiffre d’affaires de plus de 160 millions d’euros) a l’avantage d’être présente sur l’intégralité des segments du transport frigorifique et d’être de plus en plus internationale. Sa diversification répond aux nouveaux modes de consommation et de distribution avec par exemple, d’un côté, ses véhicules légers d’un mètre cube qui rentrent dans les centres-villes et, de l’autre, des semi-remorques de 100 mètres cubes qui chargent la production de la criée en bord de mer et l’achemine près des villes.
D’ici 2019, ce sont 150 salariés qui seront formés à Saint-Eusèbe, des personnes sans qualification et d'autres en reconversion qui occuperont des postes de frigoristes, de conducteurs de machines automatiques, de programmateurs de commandes numériques, etc.
Pour son nouveau chantier, Lamberet a bénéficié du zèle des équipes d’Ecosphère, l’agence de développement économique du Creusot-Montceau, qui a contribué à l’optimisation de cette implantation.
