
La première société, soutenue par la firme britannique Afren, a fait l'acquisition d'une part importante d'un champ pétrolier situé sur le continent et appartenant à Shell, Total et Agip au prix de 147,5 millions de dollars. Aux termes de l'accord, First Hydrocarbon Nigeria Limited (FHN) acquiert 45 % d'un bloc produisant actuellement quelque 6.000 barils par jour. Cette société envisage de porter la production du site à 40.000 barils, voire à 50.000 barils par jour, en l'espace de quatre ans. Les 55 % restants appartiennent à la société pétrolière nigériane d’État, Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC). FHN travaillera de concert avec la NNPC en matière d'exploration et de production.
Shell, qui exploitait ce site et est historiquement le plus gros producteur de pétrole du Nigeria, cherche, selon les experts, à vendre ses parts dans des champs continentaux et se concentrer sur l'offshore où ses installations sont moins exposées aux attaques des militants des communautés du delta du Niger, dans le sud du pays.
La deuxième acquisition portant sur le bloc 42 a été faite par le consortium Neconde Energy Limited, contrôlé majoritairement par les Nigérians, auprès des trois majors pétrolières. Les 55 % restants demeurent aux mains de la NNPC.
Shell, qui exploitait ce site et est historiquement le plus gros producteur de pétrole du Nigeria, cherche, selon les experts, à vendre ses parts dans des champs continentaux et se concentrer sur l'offshore où ses installations sont moins exposées aux attaques des militants des communautés du delta du Niger, dans le sud du pays.
La deuxième acquisition portant sur le bloc 42 a été faite par le consortium Neconde Energy Limited, contrôlé majoritairement par les Nigérians, auprès des trois majors pétrolières. Les 55 % restants demeurent aux mains de la NNPC.