Suite à une consultation ouverte lancée au premier semestre, le Grand Port maritime de La Rochelle a retenu l’offre du candidat EVA, filiale des groupes Maritime Kuhn (Fast) et Sica Atlantique, pour l’exploitation du terminal de l’anse Saint-Marc 2.
L’offre d’EVA (Établissement Vraquier de l’Atlantique) pour le terminal de l'anse Saint-Marc 2 a été retenue le 30 novembre par le directoire du Grand Port maritime de La Rochelle car elle se trouve "en adéquation avec le projet stratégique 2014-2019" du port rochelais, indique l'établissement.
Le port explique que cette offre présente une "capacité à se projeter dans le développement des filières colis lourds, notamment celle de l’éolien offshore". Autres raisons qui ont fait pencher la balance en sa faveur, le fait qu'elle propose "un développement cohérent et diversifié d’un panel de trafics préexistants et maîtrisés (engrais, tourteaux, pellets de bois…)", un "aménagement du terre-plein optimisé intégrant le potentiel de développement ultérieur de La Repentie" et enfin des perspectives de trafic de plus de 850.000 tonnes par an, reposant sur "un développement dynamique du mode ferroviaire".
Cette offre comprend un investissement pour les dix années à venir de 23,5 millions d'euros, qui se matérialisera dès 2016 par l’aménagement d’une plateforme bord à quai dédiée aux colis lourds et l’implantation de plusieurs hangars modulaires.
Une convention de trente ans
La direction du GPMLR ajoute qu'une période de trois mois s’ouvre en vue de la signature de la convention de terminal, d’une durée d’environ trente ans. À l’issue de cette phase, le port et le lauréat présenteront le contenu détaillé du projet.
Positionné dans la continuité du quai de l’anse Saint-Marc 1 et à proximité de la réserve foncière de La Repentie, le terminal de l’anse Saint-Marc 2 représente une surface totale de 10,5 hectares et comprend un quai en eaux profondes de 200 mètres de long, dont les travaux sont en cours d’achèvement.
Le port explique que cette offre présente une "capacité à se projeter dans le développement des filières colis lourds, notamment celle de l’éolien offshore". Autres raisons qui ont fait pencher la balance en sa faveur, le fait qu'elle propose "un développement cohérent et diversifié d’un panel de trafics préexistants et maîtrisés (engrais, tourteaux, pellets de bois…)", un "aménagement du terre-plein optimisé intégrant le potentiel de développement ultérieur de La Repentie" et enfin des perspectives de trafic de plus de 850.000 tonnes par an, reposant sur "un développement dynamique du mode ferroviaire".
Cette offre comprend un investissement pour les dix années à venir de 23,5 millions d'euros, qui se matérialisera dès 2016 par l’aménagement d’une plateforme bord à quai dédiée aux colis lourds et l’implantation de plusieurs hangars modulaires.
Une convention de trente ans
La direction du GPMLR ajoute qu'une période de trois mois s’ouvre en vue de la signature de la convention de terminal, d’une durée d’environ trente ans. À l’issue de cette phase, le port et le lauréat présenteront le contenu détaillé du projet.
Positionné dans la continuité du quai de l’anse Saint-Marc 1 et à proximité de la réserve foncière de La Repentie, le terminal de l’anse Saint-Marc 2 représente une surface totale de 10,5 hectares et comprend un quai en eaux profondes de 200 mètres de long, dont les travaux sont en cours d’achèvement.
