En 2019, le spécialiste de retraitement des déchets d'hydrocarbures Ecoslops a vu son chiffre d'affaires consolidé atteindre 8,7 millions d'euros. Cette croissance est due à une conjonction de plusieurs facteurs dont la hausse historique de la production de produits raffinés de son unité de Sinès, au Portugal, qui a connu en un an une croissance de 6.600 t. Elle est passée de 19.200 t en 2018 à 25.800 t l'an dernier.
Mise en service de l'unité de Marseille mi-2020
La société a d'autre part lancé la fabrication de sa première unité industrielle au Maroc. Elle a conclu un accord avec la société Aqua Flore du port d’Agadir pour une mise en service au deuxième semestre de l'année en cours.
Quant à l'unité de Marseille, d'une capacité de 30.000 t par an, sa construction est supervisée par une équipe dédiée, en collaboration avec les équipes du groupe Total, actionnaire à 25 % de la filiale Ecoslops Provence. Le montage de l’unité est actuellement en cours et sa mise en service est prévue mi-2020.
En Belgique, Ecoslops Flanders a été créée. Celle-ci opérera l’unité d’une capacité de production de 60.000 t par an. Le groupe indique que le planning prévisionnel est l'obtention des permis mi-2021, la finalisation de la construction et le démarrage mi-2022.
Projet pour le canal de Suez
En Égypte, l’étude de faisabilité a été remise en novembre 2019 aux autorités du Canal de Suez. Le projet prévoit dans un premier temps l’installation de moyens de collecte (barge), la réception et la séparation de l'eau et des hydrocarbures. Les prochaines discussions porteront principalement sur le financement de cette infrastructure de collecte, préalable indispensable à l’installation ultérieure d’une unité.
Parallèlement, Ecoslops est en phase d’avant-projet dans des zones à très fort potentiel, sur la zone Asie notamment, et poursuit le développement d’un portefeuille de prospects.
Au 31 décembre 2019, le groupe dispose d’une trésorerie de 5,9 M EUR et la dette brute s’élève à 13 M EUR, soit un endettement net de 7,1 M EUR.
Mise en service de l'unité de Marseille mi-2020
La société a d'autre part lancé la fabrication de sa première unité industrielle au Maroc. Elle a conclu un accord avec la société Aqua Flore du port d’Agadir pour une mise en service au deuxième semestre de l'année en cours.
Quant à l'unité de Marseille, d'une capacité de 30.000 t par an, sa construction est supervisée par une équipe dédiée, en collaboration avec les équipes du groupe Total, actionnaire à 25 % de la filiale Ecoslops Provence. Le montage de l’unité est actuellement en cours et sa mise en service est prévue mi-2020.
En Belgique, Ecoslops Flanders a été créée. Celle-ci opérera l’unité d’une capacité de production de 60.000 t par an. Le groupe indique que le planning prévisionnel est l'obtention des permis mi-2021, la finalisation de la construction et le démarrage mi-2022.
Projet pour le canal de Suez
En Égypte, l’étude de faisabilité a été remise en novembre 2019 aux autorités du Canal de Suez. Le projet prévoit dans un premier temps l’installation de moyens de collecte (barge), la réception et la séparation de l'eau et des hydrocarbures. Les prochaines discussions porteront principalement sur le financement de cette infrastructure de collecte, préalable indispensable à l’installation ultérieure d’une unité.
Parallèlement, Ecoslops est en phase d’avant-projet dans des zones à très fort potentiel, sur la zone Asie notamment, et poursuit le développement d’un portefeuille de prospects.
Au 31 décembre 2019, le groupe dispose d’une trésorerie de 5,9 M EUR et la dette brute s’élève à 13 M EUR, soit un endettement net de 7,1 M EUR.