Le groupe Edeis, qui vient de reprendre les actifs français du groupe canadien SNC-Lavalin SAS, compte doubler le chiffre d'affaires de l'activité gestion d'aéroports d'ici cinq ans.
L'objectif d'Edeis, né d'un partenariat à parts égales entre la société de participation française Impact Holding et le fonds d'investissement français Ciclad, est "de doubler le chiffre d'affaire des aéroports" dans cinq ans, d'après son président Jean-Luc Schnoebelen.
Edeis a repris depuis le 1er janvier les actifs de SNC-Lavalin qui comprennent 13 agences d’ingénierie (600 emplois) et 19 petits et moyens aéroports (500 emplois).
En 2016, le chiffre d'affaires des activités ingénierie, gestion d'aéroports et gestion du port de plaisance de Rouen s'est élevé à 140 millions d'euros, répartis à parts égales entre les activés de gestion d'infrastructures et d'ingénierie.
Devenir "un groupe leader"
"Dans deux ans nous voulons être à environ 170 millions, surtout dans un premier temps grâce au développement des aéroports", a expliqué Jean-Luc Schnoebelen précisant qu'Edeis souhaitait se développer en Europe et en Afrique de l'Ouest sur le créneau des moyens et grands aéroports.
Concernant la partie ingénierie, "très déficitaire" contrairement aux aéroports, son objectif est de "stabiliser" l'activité et de "trouver de vraies expertises", a ajouté le patron, évoquant une "lourdeur incompréhensible" dans la gestion de cette branche par le Canada qui avait conduit à "une carence d'autorité" et à déresponsabiliser ses salariés.
Le nouveau gestionnaire entend "devenir très rapidement un groupe leader dans le secteur de l'ingénierie et de l'exploitation des infrastructures et des bâtiments".
Edeis a repris depuis le 1er janvier les actifs de SNC-Lavalin qui comprennent 13 agences d’ingénierie (600 emplois) et 19 petits et moyens aéroports (500 emplois).
En 2016, le chiffre d'affaires des activités ingénierie, gestion d'aéroports et gestion du port de plaisance de Rouen s'est élevé à 140 millions d'euros, répartis à parts égales entre les activés de gestion d'infrastructures et d'ingénierie.
Devenir "un groupe leader"
"Dans deux ans nous voulons être à environ 170 millions, surtout dans un premier temps grâce au développement des aéroports", a expliqué Jean-Luc Schnoebelen précisant qu'Edeis souhaitait se développer en Europe et en Afrique de l'Ouest sur le créneau des moyens et grands aéroports.
Concernant la partie ingénierie, "très déficitaire" contrairement aux aéroports, son objectif est de "stabiliser" l'activité et de "trouver de vraies expertises", a ajouté le patron, évoquant une "lourdeur incompréhensible" dans la gestion de cette branche par le Canada qui avait conduit à "une carence d'autorité" et à déresponsabiliser ses salariés.
Le nouveau gestionnaire entend "devenir très rapidement un groupe leader dans le secteur de l'ingénierie et de l'exploitation des infrastructures et des bâtiments".
