
© Marine nationale
Suite à la décision de la Cour de cassation qui a confirmé mardi 25 septembre les condamnations prononcées en 2010 dans l’affaire du naufrage de l'“Erika”, Armateurs de France souligne : "Si l’arrêt est important d’un point de vue juridique, notamment par la reconnaissance qu’il accorde aux victimes de la catastrophe, il n'a pas de conséquence pratique puisque les indemnités ont déjà été versées et que la flotte mondiale, profondément rajeunie ces dernières années, n’a jamais été aussi sûre. Moins polluant, le transport maritime est aujourd’hui l’un des modes de transport le plus propre et le plus respectueux de l’environnement".
L'association professionnelle qui représente les intérêts des armateurs de l'Hexagone rappelle : "Treize ans après la catastrophe de l’"Erika", les paquets législatifs Erika I, II et III ont considérablement renforcé les compétences de l’État du port et le contrôle des règles de sécurité et de prévention de la pollution à bord des navires. De même, les plafonds d’indemnisation du Fipol (…) ont été relevés avec l’accord des armateurs pour répondre à la prise en compte du préjudice écologique".
Les armateurs estiment avoir déjà dépassé la priorité que constitue la lutte contre la pollution par hydrocarbures. En mentionnant la réduction d'émissions de soufre et de CO², ils affirment se trouver à l'étape suivante. "Notre secteur relève de nouveaux défis pour une meilleure qualité environnementale, en particulier dans la lutte contre la pollution atmosphérique". Pour Raymond Vidil, président d’Armateurs de France, "les armateurs français vivent avec leur temps et sont, comme tous nos concitoyens, très sensibles aux questions environnementales. Ils travaillent chaque jour pour un transport de qualité, toujours plus respectueux de l’environnement et des hommes".
V. J. C.
L'association professionnelle qui représente les intérêts des armateurs de l'Hexagone rappelle : "Treize ans après la catastrophe de l’"Erika", les paquets législatifs Erika I, II et III ont considérablement renforcé les compétences de l’État du port et le contrôle des règles de sécurité et de prévention de la pollution à bord des navires. De même, les plafonds d’indemnisation du Fipol (…) ont été relevés avec l’accord des armateurs pour répondre à la prise en compte du préjudice écologique".
Les armateurs estiment avoir déjà dépassé la priorité que constitue la lutte contre la pollution par hydrocarbures. En mentionnant la réduction d'émissions de soufre et de CO², ils affirment se trouver à l'étape suivante. "Notre secteur relève de nouveaux défis pour une meilleure qualité environnementale, en particulier dans la lutte contre la pollution atmosphérique". Pour Raymond Vidil, président d’Armateurs de France, "les armateurs français vivent avec leur temps et sont, comme tous nos concitoyens, très sensibles aux questions environnementales. Ils travaillent chaque jour pour un transport de qualité, toujours plus respectueux de l’environnement et des hommes".
V. J. C.