Le groupe boursier européen Euronext a publié un bénéfice net en baisse de 3,7 % à 47,7 millions d'euros au troisième trimestre, affecté par des charges exceptionnelles et fiscales non compensées par une activité en hausse.
Au troisième trimestre, Euronext a enregistré un bénéfice net en baisse en raison de charges exceptionnelles et fiscales. Des charges exceptionnelles, principalement constituées de charges de restructuration et s'élevant à 1,8 million d'euros ont pesé, tout comme une légère hausse du taux d'imposition sur le trimestre, due "à des éléments fiscaux exceptionnels", précise le groupe.
85 suppressions de postes
Euronext, qui a retrouvé son indépendance en juin 2014 après avoir été depuis 2007 dans le giron de l'américain NYSE, est engagé dans un plan d'économie comprenant 85 suppressions nettes de postes. Il assure pouvoir atteindre avec un an d'avance ses objectifs d'économie, qui s'élèvent à 80 millions d'euros.
En dehors de ces éléments exceptionnels, Euronext, qui chapeaute les Bourses de Paris, Lisbonne, Bruxelles et Amsterdam, signe un "trimestre remarquable", selon les termes de Jos Dijsselhof, PDG par interim. Le groupe a enregistré une progression de 18,4 % de son chiffre d'affaires, à 133 millions d'euros, dépassant les attentes des analystes, qui s'élevaient à 126,2 millions d'euros, selon une note de RBC Capital Markets. "Selon nous, Euronext reste une histoire de croissance et de diversification", soulignent les analystes de RBC. "Nous avons été aidé par la vigueur renouvelée du marché des cotations et des périodes continues de volatilité", a affirmé Jos Dijsselhof.
Euronext a notamment accueilli sur sa cote Altice et LafargeHolcim, rappelle le groupe, "dans une période de l'année habituellement peu favorable". L'opérateur boursier européen a par ailleurs bénéficié d'un contexte de forte volatilité sur les marchés financiers, notamment alimenté par les turbulences des marchés chinois ou encore les incertitudes concernant l'avenir de la politique monétaire de la banque centrale américaine, rappelle le groupe.
85 suppressions de postes
Euronext, qui a retrouvé son indépendance en juin 2014 après avoir été depuis 2007 dans le giron de l'américain NYSE, est engagé dans un plan d'économie comprenant 85 suppressions nettes de postes. Il assure pouvoir atteindre avec un an d'avance ses objectifs d'économie, qui s'élèvent à 80 millions d'euros.
En dehors de ces éléments exceptionnels, Euronext, qui chapeaute les Bourses de Paris, Lisbonne, Bruxelles et Amsterdam, signe un "trimestre remarquable", selon les termes de Jos Dijsselhof, PDG par interim. Le groupe a enregistré une progression de 18,4 % de son chiffre d'affaires, à 133 millions d'euros, dépassant les attentes des analystes, qui s'élevaient à 126,2 millions d'euros, selon une note de RBC Capital Markets. "Selon nous, Euronext reste une histoire de croissance et de diversification", soulignent les analystes de RBC. "Nous avons été aidé par la vigueur renouvelée du marché des cotations et des périodes continues de volatilité", a affirmé Jos Dijsselhof.
Euronext a notamment accueilli sur sa cote Altice et LafargeHolcim, rappelle le groupe, "dans une période de l'année habituellement peu favorable". L'opérateur boursier européen a par ailleurs bénéficié d'un contexte de forte volatilité sur les marchés financiers, notamment alimenté par les turbulences des marchés chinois ou encore les incertitudes concernant l'avenir de la politique monétaire de la banque centrale américaine, rappelle le groupe.
