En remerciant chaleureusement Olivier Thievenaz pour le travail bénévole accompli pendant neuf ans à la présidence de la FNTR Rhône-Isère, "un temps pris sur l’entreprise", Gilles Barbier, administrateur, a relevé son intégrité, son impartialité et sa vision de l’avenir. Aujourd’hui, Séverine Michaud, présidente de la société lyonnaise éponyme, assure la succession d’Olivier Thievenaz.
Dans son premier discours prononcé à l’issue de l’Assemblée générale 2016 de la FNTR Rhône-Isère, le 26 novembre, à la Tour-de-Salvagny, Séverine Michaud, dont la société expose régulièrement sur le salon international Pollutec de Lyon, a mis l’accent sur les nouvelles technologies et la transition énergétique, "déterminantes pour notre avenir", et fait un point économique sur cette branche d’activité majeure qu’est le transport routier de marchandises.
"Il est crucial de réhabiliter nos entreprises dans le discours de nos élus afin de placer celles-ci au cœur de la politique économique. Il est grand temps que nos gouvernants actuels et futurs prennent de réelles mesures destinées à relancer enfin la croissance".
Le constat malheureusement est cuisant avec un déficit de compétitivité qui s’accroît au profit des pavillons étrangers, "beaucoup moins taxés que le nôtre". À propos du cabotage, la FNTR demande une plus grande restriction de cette pratique avec une réduction du délai de sept à trois jours et de trois opérations à une seule ainsi qu’une période de carence entre deux opérations de cabotage. "Pourquoi le gouvernement, qui soi-disant a pour priorité la défense de la compétitivité de nos entreprises, n’accède-t-il toujours pas à cette demande argumentée, évidente et légitime", interroge Séverine Michaud.
"Il est crucial de réhabiliter nos entreprises dans le discours de nos élus afin de placer celles-ci au cœur de la politique économique. Il est grand temps que nos gouvernants actuels et futurs prennent de réelles mesures destinées à relancer enfin la croissance".
Le constat malheureusement est cuisant avec un déficit de compétitivité qui s’accroît au profit des pavillons étrangers, "beaucoup moins taxés que le nôtre". À propos du cabotage, la FNTR demande une plus grande restriction de cette pratique avec une réduction du délai de sept à trois jours et de trois opérations à une seule ainsi qu’une période de carence entre deux opérations de cabotage. "Pourquoi le gouvernement, qui soi-disant a pour priorité la défense de la compétitivité de nos entreprises, n’accède-t-il toujours pas à cette demande argumentée, évidente et légitime", interroge Séverine Michaud.
