Gérard Collomb, président de la Métropole de Lyon, se félicite de l’accord obtenu, par lettre signée du secrétaire d’État chargé des transports, Alain Vidalies, relatif au déclassement de l’autoroute A6/A7. Selon le sénateur-maire de Lyon, "c’est une avancée historique qui marque une étape majeure dans la lutte pour la suppression de l’autoroute en ville, à Lyon, ainsi qu’entre Limonest et Pierre-Bénite".
Ce déclassement de l’autoroute qui traverse la ville, devenant un boulevard urbain, devrait supprimer notamment le transit des poids lourds au cœur de Lyon et il est l’une des priorités de Gérard Collomb : "Nous allons mettre en place un groupe de travail entre la préfecture et la Métropole qui va devoir déterminer, d’ici fin juin, les modalités de mise en œuvre de ce déclassement, le calendrier et caractériser les aménagements réalisables à court terme". Parallèlement, l’État poursuit ses études pour un grand contournement autoroutier de Lyon qui concerne l’Est de la métropole souvent saturé. Une concrétisation juridique rapide est attendue car d’aucuns redoutent un nouvel effet d’annonce à un an de l’élection présidentielle et réclament un chiffrage précis du coût de l’opération en une période de crise, de pénurie, de dettes et de réduction des dotations de l’État.
Gérard Collomb reste confiant également quant à l’accord attendu pour le lancement des études d’opportunité d’une liaison A45-A 47-A7, "seule solution permettant d’écarter le trafic de transit du cœur de la métropole lyonnaise".
En ce qui concerne l’A45 Lyon-Saint-Étienne, d’un montant estimé à 1,2 milliard d’euros, l’État, cofinanceur du projet a récemment désigné le groupe Vinci comme concessionnaire. La part portée par les collectivités territoriales (422 millions d’euros) s’annonce extrêmement lourde et le Département du Rhône, par exemple, demande à l’État d’étudier à nouveau la requalification de l’A47.
Ce déclassement de l’autoroute qui traverse la ville, devenant un boulevard urbain, devrait supprimer notamment le transit des poids lourds au cœur de Lyon et il est l’une des priorités de Gérard Collomb : "Nous allons mettre en place un groupe de travail entre la préfecture et la Métropole qui va devoir déterminer, d’ici fin juin, les modalités de mise en œuvre de ce déclassement, le calendrier et caractériser les aménagements réalisables à court terme". Parallèlement, l’État poursuit ses études pour un grand contournement autoroutier de Lyon qui concerne l’Est de la métropole souvent saturé. Une concrétisation juridique rapide est attendue car d’aucuns redoutent un nouvel effet d’annonce à un an de l’élection présidentielle et réclament un chiffrage précis du coût de l’opération en une période de crise, de pénurie, de dettes et de réduction des dotations de l’État.
Gérard Collomb reste confiant également quant à l’accord attendu pour le lancement des études d’opportunité d’une liaison A45-A 47-A7, "seule solution permettant d’écarter le trafic de transit du cœur de la métropole lyonnaise".
En ce qui concerne l’A45 Lyon-Saint-Étienne, d’un montant estimé à 1,2 milliard d’euros, l’État, cofinanceur du projet a récemment désigné le groupe Vinci comme concessionnaire. La part portée par les collectivités territoriales (422 millions d’euros) s’annonce extrêmement lourde et le Département du Rhône, par exemple, demande à l’État d’étudier à nouveau la requalification de l’A47.