Mi-août, le trafic général du Grand Port maritime de Rouen (GPMR) tutoyait les 14,6 millions de tonnes en progression de 0,9 % par rapport à la même période de l’année précédente et même de 20,5 % par rapport à 2017. L’explication est à chercher du côté des exportations de céréales qui représentent un tiers des tonnages à la louche. Après une campagne 2016-2017 catastrophique, les deux suivantes ont été d’un très haut niveau avec un bon premier semestre 2019, dont un mois de mars record, mais aussi un excellent mois de juillet.
+ 6,8 % pour les produits pétroliers raffinés
Mi-août, les vracs solides atteignaient 7,62 millions de tonnes (+ 0,5 %), dont 5,14 pour les sorties de céréales (+ 0,7 %). Pour les vracs liquides, les hausses s’établissaient à 3,7 % pour un global de 6,26 millions de tonnes, dont 4,3 pour les produits pétroliers raffinés (+ 6,8 %). Le seul point noir concernait les marchandises diverses en recul de 15,8 %, à 718.000 tonnes, dont une nouvelle érosion des trafics conteneurisés maritimes, à 270.000 tonnes, soit - 13 % et même - 33,5 % par rapport à 2017.
+ 6,8 % pour les produits pétroliers raffinés
Mi-août, les vracs solides atteignaient 7,62 millions de tonnes (+ 0,5 %), dont 5,14 pour les sorties de céréales (+ 0,7 %). Pour les vracs liquides, les hausses s’établissaient à 3,7 % pour un global de 6,26 millions de tonnes, dont 4,3 pour les produits pétroliers raffinés (+ 6,8 %). Le seul point noir concernait les marchandises diverses en recul de 15,8 %, à 718.000 tonnes, dont une nouvelle érosion des trafics conteneurisés maritimes, à 270.000 tonnes, soit - 13 % et même - 33,5 % par rapport à 2017.
"Une nouvelle érosion des trafics conteneurisés maritimes"
En année mobile mais à fin juillet cette fois, le trafic global s’établissait à plus de 23 millions de tonnes (+ 2,7 %), avec 7,5 millions de tonnes pour les exportations de grains, ce qui en fin d’année constituerait de très bons scores. Toujours en année glissante, nombreux sont les trafics en progression à l’image des gaz liquides énergétiques (+ 28,7 %), des charbons (+ 6,1 %), des malts (+ 6,4 %), des produits papetiers (+ 26,1 %) ou des marchandises en sacs (+ 43,8 %). Ou stables comme les engrais liquides à près de 1,5 million de tonnes.