MGI et Soget ont créé un GIE baptisé France PCS. Celui-ci doit permettre aux deux sociétés informatiques de généraliser leurs deux systèmes de gestion à l'ensemble des ports français et même jusqu'aux frontières terrestres.
Après avoir passé de longues années à se regarder en chiens de faïence, les deux entreprises informatiques portuaires MGI et Soget ont pris la décision de créer un GIE. L'objectif fixé à la structure baptisée France PCS est de parvenir à la généralisation de leurs deux Cargo Community Systems (CCS) dans les ports français dès 2022.
Au cours de ses premiers mois, le GIE placé sous la direction de Dominique Lebreton, directeur du développement de MGI, va être occupé par quatre projets majeurs. Selon Hervé Cornède, le président du directoire de la société havraise Soget, ceux-ci s'inscrivent "dans une démarche visant à booster les chaînes logistiques au frontières". Il s'agit de l'accompagnement des marchandises aux points de passage frontaliers, de la promotion portuaire française, de la cybersécurisation des infrastructures nationales et de la simplification du commerce extérieur, avec un renforcement de la dématérialisation.
Construire l'avenir ensemble
Hervé Cornède explique : "Au niveau national, on a émis le souhait de construire l'avenir ensemble".
"France PCS est en phase de démarrage et en alignement de stratégie", indique Rémi Julien, le président du directoire de l'entreprise marseillaise MGI. Il espère les premiers résultats pour le GIE dans six mois ou un an.
Les deux entreprises informatiques havraise et marseillaise n'ont donc pas cédé à la pression d'un ministère des Transports qui avait souhaité à une époque un seul outil informatique pour tous les ports français, qui continueront d'avoir à faire aux systèmes Ci5 et S)One. Mais la création du nouveau GIE prouve qu'elles auront suivi les propos tenus à l'occasion du Cimer 2019, où l'on avait prôné l'émergence de solutions numériques, la prévision la cybersécurité et l'anticipation de l'arrivée d'un guichet unique européen.
Au cours de ses premiers mois, le GIE placé sous la direction de Dominique Lebreton, directeur du développement de MGI, va être occupé par quatre projets majeurs. Selon Hervé Cornède, le président du directoire de la société havraise Soget, ceux-ci s'inscrivent "dans une démarche visant à booster les chaînes logistiques au frontières". Il s'agit de l'accompagnement des marchandises aux points de passage frontaliers, de la promotion portuaire française, de la cybersécurisation des infrastructures nationales et de la simplification du commerce extérieur, avec un renforcement de la dématérialisation.
Construire l'avenir ensemble
Hervé Cornède explique : "Au niveau national, on a émis le souhait de construire l'avenir ensemble".
"France PCS est en phase de démarrage et en alignement de stratégie", indique Rémi Julien, le président du directoire de l'entreprise marseillaise MGI. Il espère les premiers résultats pour le GIE dans six mois ou un an.
Les deux entreprises informatiques havraise et marseillaise n'ont donc pas cédé à la pression d'un ministère des Transports qui avait souhaité à une époque un seul outil informatique pour tous les ports français, qui continueront d'avoir à faire aux systèmes Ci5 et S)One. Mais la création du nouveau GIE prouve qu'elles auront suivi les propos tenus à l'occasion du Cimer 2019, où l'on avait prôné l'émergence de solutions numériques, la prévision la cybersécurité et l'anticipation de l'arrivée d'un guichet unique européen.
