Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a fini vendredi 1er décembre à 1.626 points, à son plus haut depuis janvier 2014, contre 1.458 points une semaine auparavant.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 4.025 points, à son plus haut niveau depuis la création de cette version de l'indice en avril 2014, contre 3.453 points une semaine auparavant. "Des intempéries en Chine ont retardé le trafic, ce qui fait grimper les prix, notamment sur la route maritime qui relie la Chine à l'Ouest de l'Australie", ont commenté les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Exchange. Cette route fait la jonction entre les mines australiennes et le premier importateur mondial de matières premières.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "panamax", a terminé à son plus haut depuis près d'un mois vendredi 1er décembre à 1.494 points, contre 1.295 points une semaine auparavant.
Du côté du pétrole, la météo hivernale a également fait grimper les prix. Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.), a terminé à 649 points vendredi 1er décembre, à son plus haut niveau depuis deux mois, contre 603 points sept jours auparavant.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fuel lourd, a fini vendredi 1er décembre à 820 points contre 812 points la semaine précédente. "Le marché est en réalité plat, des navires sont encore disponibles, mais des intempéries annoncées et l'embouteillage autour de la Turquie (où les navires s'amoncellent, ralentissant le trafic, NDLR) font grimper les taux", ont commenté les analystes du courtier Howe Robinson.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 4.025 points, à son plus haut niveau depuis la création de cette version de l'indice en avril 2014, contre 3.453 points une semaine auparavant. "Des intempéries en Chine ont retardé le trafic, ce qui fait grimper les prix, notamment sur la route maritime qui relie la Chine à l'Ouest de l'Australie", ont commenté les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Exchange. Cette route fait la jonction entre les mines australiennes et le premier importateur mondial de matières premières.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "panamax", a terminé à son plus haut depuis près d'un mois vendredi 1er décembre à 1.494 points, contre 1.295 points une semaine auparavant.
Du côté du pétrole, la météo hivernale a également fait grimper les prix. Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.), a terminé à 649 points vendredi 1er décembre, à son plus haut niveau depuis deux mois, contre 603 points sept jours auparavant.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fuel lourd, a fini vendredi 1er décembre à 820 points contre 812 points la semaine précédente. "Le marché est en réalité plat, des navires sont encore disponibles, mais des intempéries annoncées et l'embouteillage autour de la Turquie (où les navires s'amoncellent, ralentissant le trafic, NDLR) font grimper les taux", ont commenté les analystes du courtier Howe Robinson.