Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a fini vendredi 28 octobre à 834 points, contre 842 points une semaine auparavant. Jeudi 27 octobre, l'indice a atteint 798 points, au plus bas depuis plus d'un mois.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.417points contre 1.575 points une semaine auparavant. "Après avoir sérieusement reculé en début de semaine, les prix sont restés sous pression, avec une baisse de la demande dans le Pacifique qui fait augmenter le nombre de navires disponibles", ont commenté les analystes du courtier Fearnleys. "Dans le même temps, il n'y a quasiment pas de cargaisons de fer venues du Brésil, ce qui pèse sur les marchés comme cela avait déjà été le cas au quatrième trimestre de l'année dernière", ont-ils ajouté.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "panamax", a terminé en légère baisse vendredi 28 octobre à 913 points, contre 915 points une semaine auparavant. Mardi 25 octobre, l'indice a atteint son niveau le plus élevé depuis près de quatorze mois, à 925 points. "Le trafic reste robuste dans l'Atlantique, mais les tarifs dans le Pacifique nous semblent avoir atteint leur plus haut niveau", ont commenté les experts de Fearnleys. Les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Index, ne partageaient pas l'optimisme sur l'activité dans l'Atlantique. "Nos prévisions restent prudentes pour les livraisons venues de l'Atlantique, alors que les taux pratiqués sont en baisse, aussi bien dans le Nord que dans le golfe du Mexique et en Amérique du Sud", ont-ils prévenu.
"L'activité en ébullition au Moyen-Orient s'est légèrement refroidie"
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.), a terminé à 423 points vendredi 28 octobre, contre 428 points sept jours auparavant. Lundi24 octobre, l'indice avait atteint 434 points, au plus haut depuis trois mois, avant de redescendre au fil de la semaine. "L'activité en ébullition au Moyen-Orient s'est légèrement refroidie, avec des baisses des taux des trajets vers le Japon", a souligné le Baltic Briefing.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fuel lourd, a fini vendredi 28 octobre à 660 points contre 691 points la semaine précédente. "Au niveau de l'activité, la semaine a été dans l'ensemble plutôt légère", a noté Fearnleys. "La semaine a été décevante, avec peu de nouvelle demande, ce qui a fait chuter les prix", ont pour leur part écrit les analystes du Baltic Briefing au sujet des VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut).
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.417points contre 1.575 points une semaine auparavant. "Après avoir sérieusement reculé en début de semaine, les prix sont restés sous pression, avec une baisse de la demande dans le Pacifique qui fait augmenter le nombre de navires disponibles", ont commenté les analystes du courtier Fearnleys. "Dans le même temps, il n'y a quasiment pas de cargaisons de fer venues du Brésil, ce qui pèse sur les marchés comme cela avait déjà été le cas au quatrième trimestre de l'année dernière", ont-ils ajouté.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "panamax", a terminé en légère baisse vendredi 28 octobre à 913 points, contre 915 points une semaine auparavant. Mardi 25 octobre, l'indice a atteint son niveau le plus élevé depuis près de quatorze mois, à 925 points. "Le trafic reste robuste dans l'Atlantique, mais les tarifs dans le Pacifique nous semblent avoir atteint leur plus haut niveau", ont commenté les experts de Fearnleys. Les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Index, ne partageaient pas l'optimisme sur l'activité dans l'Atlantique. "Nos prévisions restent prudentes pour les livraisons venues de l'Atlantique, alors que les taux pratiqués sont en baisse, aussi bien dans le Nord que dans le golfe du Mexique et en Amérique du Sud", ont-ils prévenu.
"L'activité en ébullition au Moyen-Orient s'est légèrement refroidie"
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.), a terminé à 423 points vendredi 28 octobre, contre 428 points sept jours auparavant. Lundi24 octobre, l'indice avait atteint 434 points, au plus haut depuis trois mois, avant de redescendre au fil de la semaine. "L'activité en ébullition au Moyen-Orient s'est légèrement refroidie, avec des baisses des taux des trajets vers le Japon", a souligné le Baltic Briefing.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fuel lourd, a fini vendredi 28 octobre à 660 points contre 691 points la semaine précédente. "Au niveau de l'activité, la semaine a été dans l'ensemble plutôt légère", a noté Fearnleys. "La semaine a été décevante, avec peu de nouvelle demande, ce qui a fait chuter les prix", ont pour leur part écrit les analystes du Baltic Briefing au sujet des VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut).