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Le Baltic Dry Index (BDI) a fini vendredi 20 mars à 591 points. Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014) a terminé la semaine à 423 points. "Il n'y a toujours pas grand-chose à noter du côté des capesize, et les taux restent à des niveaux faibles", ont commenté les analystes de Braemar ACM. Les taux d'affrètements des capesize pour le transport de minerai de fer entre l'Australie de l'Ouest et la Chine, ont tenté un rebond la semaine dernière atteignant 4,65 dollars la tonne, mais sont retombés à 4,50 dollars la tonne vendredi 20 mars, selon les analystes. Les tarifs restent ainsi très bas. En effet, l'année dernière à la même période, sur cette route - l'une des plus actives pour cette catégorie de navires - les tarifs atteignaient 11,75 dollars la tonne, dans un marché alors considéré comme morose. Le Baltic Panamax Index (BPI) a terminé en hausse vendredi 20 mars à 617 points. Les tarifs de panamax ont été aidés par les exportations de céréales depuis l'Amérique du Sud, dont la saison débute aux alentours du mois de mars, selon des analystes.
Du côté des pétroliers, les navires transportant du pétrole brut ou du fuel lourd se sont retrouvés sous pression la semaine dernière. "L'activité a ralenti pour les VLCC au départ du Moyen-Orient car le programme de chargements du mois de mars arrive à sa fin", notaient les analystes de Fearnleys. "Mais avec le programme d'avril qui va commencer et le moral plutôt bon des armateurs, nous pensons que les taux devraient se maintenir pour les exportations entre le Moyen-Orient et l'Asie", a estimé Court Smith, analyste chez MJLF. Une surabondance de navires a également continué de peser sur les suezmax, ces navires conçus pour pouvoir naviguer le canal de Suez, en Égypte, depuis l'Afrique de l'Ouest. L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI) a ainsi fini vendredi 20 mars à 769 points, son plus bas niveau depuis cinq mois, contre 812 points la semaine précédente. Les tarifs des navires transportant des produits pétroliers raffinés (essence, diesel gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.) ont eux aussi baissé. Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI) a terminé à 681 points vendredi 20 mars. La demande s'est globalement affaiblie des deux côtés de l'Atlantique, augmentant ainsi le nombre de navires disponibles, malgré un regain d'activité entre le golfe du Mexique et l'Europe, ont noté les analystes du courtier Charles Weber.
Les facteurs ponctuels (un hiver froid aux États-Unis qui a ouvert des perspectives d'arbitrage, de meilleurs marges de raffinages qui se sont traduites par une augmentation de la production) qui ont poussé les cours des navires transportant des produits pétroliers ces dernières semaines se sont estompés. Mais les perspectives demeurent positives pour ce marché, selon les analystes de Poten & Partners, grâce, notamment, à l'expansion de l'activité de raffinage au Moyen-Orient et en Inde.
Du côté des pétroliers, les navires transportant du pétrole brut ou du fuel lourd se sont retrouvés sous pression la semaine dernière. "L'activité a ralenti pour les VLCC au départ du Moyen-Orient car le programme de chargements du mois de mars arrive à sa fin", notaient les analystes de Fearnleys. "Mais avec le programme d'avril qui va commencer et le moral plutôt bon des armateurs, nous pensons que les taux devraient se maintenir pour les exportations entre le Moyen-Orient et l'Asie", a estimé Court Smith, analyste chez MJLF. Une surabondance de navires a également continué de peser sur les suezmax, ces navires conçus pour pouvoir naviguer le canal de Suez, en Égypte, depuis l'Afrique de l'Ouest. L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI) a ainsi fini vendredi 20 mars à 769 points, son plus bas niveau depuis cinq mois, contre 812 points la semaine précédente. Les tarifs des navires transportant des produits pétroliers raffinés (essence, diesel gaz liquéfié, fuel de chauffage, etc.) ont eux aussi baissé. Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI) a terminé à 681 points vendredi 20 mars. La demande s'est globalement affaiblie des deux côtés de l'Atlantique, augmentant ainsi le nombre de navires disponibles, malgré un regain d'activité entre le golfe du Mexique et l'Europe, ont noté les analystes du courtier Charles Weber.
Les facteurs ponctuels (un hiver froid aux États-Unis qui a ouvert des perspectives d'arbitrage, de meilleurs marges de raffinages qui se sont traduites par une augmentation de la production) qui ont poussé les cours des navires transportant des produits pétroliers ces dernières semaines se sont estompés. Mais les perspectives demeurent positives pour ce marché, selon les analystes de Poten & Partners, grâce, notamment, à l'expansion de l'activité de raffinage au Moyen-Orient et en Inde.