Les prix des transports de vracs secs et liquides ont progressé la semaine dernière, portés par un regain d'activité en Asie, tandis que les taux pour les produits pétroliers sont restés sous pression.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport de vracs solides a fini vendredi 18 septembre à 960 points, son plus haut niveau en près d'un mois, contre 818 points une semaine auparavant.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires forcés à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.995 points, un maximum en plus d'un mois et demi, contre 1.198 points une semaine auparavant. Le marché des vracs secs a notamment été aidé par une augmentation du nombre de chargements en Asie et en particulier sur la route de transport de minerais de fer entre l'Australie de l'ouest et la Chine, selon les experts du courtier Fearnleys.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "Panamax" a de son côté terminé en légère hausse vendredi 18 septembre, à 753 points, contre 735 points une semaine auparavant. Le marché des Panamax est resté peu actif la semaine dernière avec l'activité céréalière au départ de l'Amérique du Sud qui s'amenuise, comme c'est toujours le cas à cette période de l'année.
La demande en pétroliers vient de Chine
De leur côté, les taux d'affrètement des pétroliers ont divergé la semaine dernière. Les VLCC (Very Large Crude Carriers), la deuxième plus grosse catégorie de navires transporteurs de brut, au départ du Moyen-Orient et de l'Afrique de l'ouest ont bénéficié d'une meilleure demande pour des réservations de cargaisons à charger au mois d'octobre, en comparaison au mois de septembre. "Une large portion de la demande vient de Chine, les réservations de navires depuis le Moyen-Orient et l'Afrique de l'Ouest vers ce pays ont atteint leur plus haut de l'année cette semaine", ont noté les analystes du courtier Weber Tanker. Pour ceux du courtier Poten & Partners, même si le moral autour de la Chine a pris un tour négatif ces dernières semaines, cela ne se fait pas ressentir directement sur la demande d'or noir. "Jusqu'à maintenant, les statistiques montrent peu de signes d'une faiblesse de la demande de ce pays. Les prix bas vont continuer de soutenir la demande et cela veut aussi dire que la Chine va continuer à remplir ses réserves stratégiques", ont-ils souligné.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fioul lourd, a ainsi fini le 18 septembre à 666 points contre 635 points la semaine précédente. Sur le marché des produits pétroliers, le manque de cargaisons dans les bassins Atlantique et Asie-Pacifique continuait de peser sur les taux d'affrètement.
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des taux appliqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fioul de chauffage, etc.), a terminé à 518 points vendredi 18 septembre, son minimum en un an, contre 544 points sept jours auparavant.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport de vracs solides a fini vendredi 18 septembre à 960 points, son plus haut niveau en près d'un mois, contre 818 points une semaine auparavant.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires forcés à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.995 points, un maximum en plus d'un mois et demi, contre 1.198 points une semaine auparavant. Le marché des vracs secs a notamment été aidé par une augmentation du nombre de chargements en Asie et en particulier sur la route de transport de minerais de fer entre l'Australie de l'ouest et la Chine, selon les experts du courtier Fearnleys.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "Panamax" a de son côté terminé en légère hausse vendredi 18 septembre, à 753 points, contre 735 points une semaine auparavant. Le marché des Panamax est resté peu actif la semaine dernière avec l'activité céréalière au départ de l'Amérique du Sud qui s'amenuise, comme c'est toujours le cas à cette période de l'année.
La demande en pétroliers vient de Chine
De leur côté, les taux d'affrètement des pétroliers ont divergé la semaine dernière. Les VLCC (Very Large Crude Carriers), la deuxième plus grosse catégorie de navires transporteurs de brut, au départ du Moyen-Orient et de l'Afrique de l'ouest ont bénéficié d'une meilleure demande pour des réservations de cargaisons à charger au mois d'octobre, en comparaison au mois de septembre. "Une large portion de la demande vient de Chine, les réservations de navires depuis le Moyen-Orient et l'Afrique de l'Ouest vers ce pays ont atteint leur plus haut de l'année cette semaine", ont noté les analystes du courtier Weber Tanker. Pour ceux du courtier Poten & Partners, même si le moral autour de la Chine a pris un tour négatif ces dernières semaines, cela ne se fait pas ressentir directement sur la demande d'or noir. "Jusqu'à maintenant, les statistiques montrent peu de signes d'une faiblesse de la demande de ce pays. Les prix bas vont continuer de soutenir la demande et cela veut aussi dire que la Chine va continuer à remplir ses réserves stratégiques", ont-ils souligné.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fioul lourd, a ainsi fini le 18 septembre à 666 points contre 635 points la semaine précédente. Sur le marché des produits pétroliers, le manque de cargaisons dans les bassins Atlantique et Asie-Pacifique continuait de peser sur les taux d'affrètement.
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des taux appliqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fioul de chauffage, etc.), a terminé à 518 points vendredi 18 septembre, son minimum en un an, contre 544 points sept jours auparavant.