Frets maritimes
Les taux d'affrètement de vracs secs se sont stabilisés la semaine du 31 décembre au 6 janvier, la première de cotation de 2017, tandis que les taux des pétroliers ont lentement reculé après s'être envolés en début de semaine.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport de vracs secs (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a fini vendredi 6 janvier à 963 points, contre 961 points le vendredi 23 décembre.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "Capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.658 points après avoir atteint 1.759 points jeudi 5 janvier, à son plus haut niveau depuis un mois, contre 1.385 points vendredi 23 décembre.
"Le marché autour des caps est resté actif de façon surprenante malgré les fêtes de fin d'année et la première semaine de l'année a continué sur un rythme solide", ont noté les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Exchange. "Les prix ont commencé à reculer en fin de semaine dans l'Atlantique, et nous surveillons tout particulièrement cette région, où certains opérateurs semblent croire que les prix vont redescendre en février, malgré le faible nombre de navires disponibles", ont cependant noté les analystes de Fearnleys.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "Panamax", a terminé en hausse vendredi à 892 points, contre 852 points vendredi 23 décembre. Alors que les prix avaient chuté en décembre, pour atteindre leur plus bas niveau depuis mi-octobre, ils parvenaient enfin à rebondir. "La semaine a vu la chance des traders qui pariaient sur l'Atlantique se retourner, avec une hausse des taux pratiqués dans toutes les zones, avec notamment un manque de navires dans le golfe du Mexique", ont commenté les analystes de Fearnleys.
Du côté du pétrole, si les taux ont atteint des plus hauts en début de semaine, les analystes notaient surtout la baisse régulière au fil des séances. "La semaine a été plus modérée, car les propriétaires ont cherché à s'assurer d'avoir des trajets réservés à des prix qui restent plus que décents", a expliqué le courtier MJLF.
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fioul de chauffage, etc.), a terminé à 846 points vendredi 6 janvier, après s'être envolé à son plus haut niveau en plus de cinq ans à 867 points mardi, contre 678 points vendredi 23 décembre.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fioul lourd, a fini le 6 janvier à 1.026 points après avoir atteint 1.088 points mardi, à son plus haut niveau depuis près de trois ans, contre 919 points vendredi 23 décembre.
"Les affréteurs de VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut) qui attendaient de voir les prix continuer de monter vont désormais devoir rivaliser entre eux pour s'assurer d'avoir une activité, ce qui pourrait encore faire baisser les prix", ont prévenu les analystes de Howe Robinson.
Les taux d'affrètement de vracs secs se sont stabilisés la semaine du 31 décembre au 6 janvier, la première de cotation de 2017, tandis que les taux des pétroliers ont lentement reculé après s'être envolés en début de semaine.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur vingt routes de transport de vracs secs (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a fini vendredi 6 janvier à 963 points, contre 961 points le vendredi 23 décembre.
Le Baltic Capesize Index 2014 (BCI 2014), qui compile les tarifs de la catégorie de navires "Capesize", forcés par leur taille imposante à naviguer au large des caps Horn et de Bonne-Espérance, a terminé la semaine à 1.658 points après avoir atteint 1.759 points jeudi 5 janvier, à son plus haut niveau depuis un mois, contre 1.385 points vendredi 23 décembre.
"Le marché autour des caps est resté actif de façon surprenante malgré les fêtes de fin d'année et la première semaine de l'année a continué sur un rythme solide", ont noté les analystes du Baltic Briefing, site d'information du Baltic Exchange. "Les prix ont commencé à reculer en fin de semaine dans l'Atlantique, et nous surveillons tout particulièrement cette région, où certains opérateurs semblent croire que les prix vont redescendre en février, malgré le faible nombre de navires disponibles", ont cependant noté les analystes de Fearnleys.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales) empruntées par des navires de la catégorie "Panamax", a terminé en hausse vendredi à 892 points, contre 852 points vendredi 23 décembre. Alors que les prix avaient chuté en décembre, pour atteindre leur plus bas niveau depuis mi-octobre, ils parvenaient enfin à rebondir. "La semaine a vu la chance des traders qui pariaient sur l'Atlantique se retourner, avec une hausse des taux pratiqués dans toutes les zones, avec notamment un manque de navires dans le golfe du Mexique", ont commenté les analystes de Fearnleys.
Du côté du pétrole, si les taux ont atteint des plus hauts en début de semaine, les analystes notaient surtout la baisse régulière au fil des séances. "La semaine a été plus modérée, car les propriétaires ont cherché à s'assurer d'avoir des trajets réservés à des prix qui restent plus que décents", a expliqué le courtier MJLF.
Le Baltic Clean Tanker Index (BCTI), moyenne des prix pratiqués sur six routes de produits pétroliers raffinés (essence, gaz liquéfié, fioul de chauffage, etc.), a terminé à 846 points vendredi 6 janvier, après s'être envolé à son plus haut niveau en plus de cinq ans à 867 points mardi, contre 678 points vendredi 23 décembre.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fioul lourd, a fini le 6 janvier à 1.026 points après avoir atteint 1.088 points mardi, à son plus haut niveau depuis près de trois ans, contre 919 points vendredi 23 décembre.
"Les affréteurs de VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut) qui attendaient de voir les prix continuer de monter vont désormais devoir rivaliser entre eux pour s'assurer d'avoir une activité, ce qui pourrait encore faire baisser les prix", ont prévenu les analystes de Howe Robinson.