
© TMR
La SNCF et la société de transports suisse TMR ont signé un protocole d'accord visant à gérer en commun la ligne ferroviaire transfrontalière. Cette ligne reliant Saint-Gervais (Haute-Savoie) à Martigny a été un temps menacée de disparition. "Nous allons travailler ensemble pour unifier la gestion de la ligne (...) et faire comme si nous étions un seul", a déclaré le PDG de la SNCF Guillaume Pepy à l'issue du protocole signé avec les Transports de Martigny et Régions (TMR), gestionnaire de la liaison entre Le Châtelard et Martigny.
Centenaire, la ligne de 52 km reliant Martigny (Suisse) à Saint-Gervais, empruntée chaque année par près de 800.000 voyageurs dont une grande partie de touristes, avait été menacée de fermeture il y a une dizaine d'années. La signature est une "preuve de plus que la ligne a de l'avenir", malgré une exploitation rendue "très difficile en raison des conditions climatiques", a estimé Guillaume Pepy. Commercialisation, techniques d'entretien et d'exploitation, marketing seront étudiés afin "d'être mis en commun", "sans qu'il soit question pour autant de fusionner", a détaillé le PDG de la SNCF sans donner plus de précisions sur le calendrier et la répartition des charges.
"Le chemin de fer est vital" pour la vallée du Trient, dont "le bassin de population de suffit pas à faire vivre un train", a de son côté souligné le président des TMR, Raymond Carrupt. La question de l'entretien et de la rénovation de la ligne, dont le coût est estimé à 52 millions d'euros, devait être tranchée le 5 janvier lors d'une réunion des différents financeurs.
Centenaire, la ligne de 52 km reliant Martigny (Suisse) à Saint-Gervais, empruntée chaque année par près de 800.000 voyageurs dont une grande partie de touristes, avait été menacée de fermeture il y a une dizaine d'années. La signature est une "preuve de plus que la ligne a de l'avenir", malgré une exploitation rendue "très difficile en raison des conditions climatiques", a estimé Guillaume Pepy. Commercialisation, techniques d'entretien et d'exploitation, marketing seront étudiés afin "d'être mis en commun", "sans qu'il soit question pour autant de fusionner", a détaillé le PDG de la SNCF sans donner plus de précisions sur le calendrier et la répartition des charges.
"Le chemin de fer est vital" pour la vallée du Trient, dont "le bassin de population de suffit pas à faire vivre un train", a de son côté souligné le président des TMR, Raymond Carrupt. La question de l'entretien et de la rénovation de la ligne, dont le coût est estimé à 52 millions d'euros, devait être tranchée le 5 janvier lors d'une réunion des différents financeurs.