Des barrages flottants ont pu être mis en place pour la première fois lundi 18 mars dans la zone du naufrage du "Grande America", dans le golfe de Gascogne, grâce à l'amélioration des conditions météorologiques, a annoncé la préfecture maritime de l'Atlantique.
Plusieurs navires mènent les opérations de lutte antipollution dans la zone, dont l'"Argonaute" et le "Sapeur" affrétés par la Marine nationale, mais aussi le "Partisan" et le "Ria de Vigo" affrétés par l'Agence européenne de la sécurité maritime (EMSA) ou encore le remorqueur espagnol "Alonso de Chaves". Un second remorqueur espagnol, le "Maria de Maetzu", était attendu mardi sur zone.
À la verticale de l'épave, qui a sombré le 12 mars par 4.600 mètres de fond après un violent incendie, "une irisation de surface parsemée d'amas de fioul lourd est visible", indique la préfecture maritime, ajoutant que la pollution initiale émise par le navire italien lors de son naufrage "dérive", sans toutefois spécifier la direction. Cette pollution est "constituée d'amas de fioul lourd disséminés en surface", précise la même source. Par ailleurs, "les autorités maritimes restent vigilantes quant aux éventuels rejets illicites d'hydrocarbures par des navires pollueurs opportunistes", souligne-t-elle.
Le remorqueur "Union Lynx", affrété par l'armateur Grimaldi Lines, procède au "remorquage d'un conteneur de matières non dangereuses vers le port de La Rochelle". Il devrait ensuite tenter de récupérer l'une des deux embarcations de survie du "Grande America", localisée à la dérive à environ 55 km à l'ouest des côtes.
L'ONG Robin des Bois demande que les navires de Grimaldi Lines en escale ou attendus au Havre dans les prochains jours "fassent l'objet en urgence d'inspections détaillées".
Plusieurs navires mènent les opérations de lutte antipollution dans la zone, dont l'"Argonaute" et le "Sapeur" affrétés par la Marine nationale, mais aussi le "Partisan" et le "Ria de Vigo" affrétés par l'Agence européenne de la sécurité maritime (EMSA) ou encore le remorqueur espagnol "Alonso de Chaves". Un second remorqueur espagnol, le "Maria de Maetzu", était attendu mardi sur zone.
À la verticale de l'épave, qui a sombré le 12 mars par 4.600 mètres de fond après un violent incendie, "une irisation de surface parsemée d'amas de fioul lourd est visible", indique la préfecture maritime, ajoutant que la pollution initiale émise par le navire italien lors de son naufrage "dérive", sans toutefois spécifier la direction. Cette pollution est "constituée d'amas de fioul lourd disséminés en surface", précise la même source. Par ailleurs, "les autorités maritimes restent vigilantes quant aux éventuels rejets illicites d'hydrocarbures par des navires pollueurs opportunistes", souligne-t-elle.
Le remorqueur "Union Lynx", affrété par l'armateur Grimaldi Lines, procède au "remorquage d'un conteneur de matières non dangereuses vers le port de La Rochelle". Il devrait ensuite tenter de récupérer l'une des deux embarcations de survie du "Grande America", localisée à la dérive à environ 55 km à l'ouest des côtes.
L'ONG Robin des Bois demande que les navires de Grimaldi Lines en escale ou attendus au Havre dans les prochains jours "fassent l'objet en urgence d'inspections détaillées".