Une arrivée sur le littoral français de pollution consécutive au naufrage du navire "Grande America" "semble très peu probable" avant la fin du mois, a fait savoir mardi 19 mars la préfecture maritime de l'Atlantique. Ce pronostic tient compte "des conditions environnementales (...), de la distance à la côte et des résultats des modèles fournis par le comité de dérive".
Par ailleurs, l'amélioration des conditions météorologiques, nettement meilleures que les jours précédents, a permis mardi "la mise en œuvre d'un dispositif complet de lutte anti-pollution" dans la zone du naufrage du Grande America, dans le golfe de Gascogne. "Des barrages hauturiers ont été déployés avec la technique du chalutage en bœuf pour confiner le polluant et le pomper ensuite à bord des navires de lutte anti-pollution", selon la préfecture. Plusieurs navires français et espagnols sont présents sur zone.
"Les opérations ont été menées de manière simultanée", à la fois "à la verticale de l'épave où une irisation de surface parsemée de fioul lourd est toujours visible", et "sur la pollution initiale émise" par le navire lors de son naufrage.
L'amélioration de l'état de la mer a également permis de "réaliser une meilleure observation aérienne de la pollution". "Les vols réalisés ont permis la relocalisation de cinq conteneurs et deux radeaux pneumatiques".
Enfin, "des prélèvements d'échantillons en mer ont été réalisés" mardi matin "sur le front avant de la pollution" et transférés à terre pour analyses.
Par ailleurs, l'amélioration des conditions météorologiques, nettement meilleures que les jours précédents, a permis mardi "la mise en œuvre d'un dispositif complet de lutte anti-pollution" dans la zone du naufrage du Grande America, dans le golfe de Gascogne. "Des barrages hauturiers ont été déployés avec la technique du chalutage en bœuf pour confiner le polluant et le pomper ensuite à bord des navires de lutte anti-pollution", selon la préfecture. Plusieurs navires français et espagnols sont présents sur zone.
"Les opérations ont été menées de manière simultanée", à la fois "à la verticale de l'épave où une irisation de surface parsemée de fioul lourd est toujours visible", et "sur la pollution initiale émise" par le navire lors de son naufrage.
L'amélioration de l'état de la mer a également permis de "réaliser une meilleure observation aérienne de la pollution". "Les vols réalisés ont permis la relocalisation de cinq conteneurs et deux radeaux pneumatiques".
Enfin, "des prélèvements d'échantillons en mer ont été réalisés" mardi matin "sur le front avant de la pollution" et transférés à terre pour analyses.