
© All Dredge Holland
Dans le cadre d'une tournée internationale effectuée dans le "premier port du commerce extérieur du Maroc", Haropa, qui revendique la position de premier ensemble des ports français, a présenté ses arguments. Selon la délégation, "près de dix compagnies maritimes de lignes régulières proposent la desserte Nord-Sud des ports marocains (Tanger, Casablanca et Agadir) à partir des terminaux maritimes de l’axe Seine", ajoutant que Comanav, CMA CGM, Wums, MSC, Seago Line, Grimaldi, WEC Lines, EML et Delmas en sont les principaux acteurs dans le secteur du conteneur et du transport roulier.
Une alternative à la route
Cette offre de transport représente "une véritable alternative au mode routier entre les bassins de production et de consommation du Maroc et ceux de l’Ouest européen (dont la France, le Royaume-Uni et l’Irlande)", a-t-on expliqué. Utilisant les arguments écologiques, il a été dit que "quotidiennement, les services maritimes entre Rouen-Le Havre et le Maroc contribuent à réduire l’impact carbone du transport des marchandises échangées".
Haropa a rappelé que Rouen, premier port européen pour les céréales, continue de jouer "un rôle prépondérant dans les échanges avec le Maroc". Quant au Havre, ses échanges avec le royaume chérifien ont vu depuis le mois de mars la montée en puissance des flux de véhicules Lodgy de Dacia au départ de l’usine de Tanger.
Devant plus de deux cents importateurs-exportateurs, organisateurs de transport et logisticiens marocains, Philippe Dehays, président de l’UPR, a précisé que "la qualité de la desserte Nord-Sud proposée par les ports de l’axe Seine est un véritable atout en matière de compétitivité pour les opérations import-export avec le marché marocain".
Quant à Hervé Cornède, directeur commercial du Grand Port maritime du Havre, il a souligné que "la gamme étendue d’activités et la qualité de son offre de services permettent aux acteurs économiques marocains de bénéficier des meilleures conditions pour conquérir les marchés français et européens".
Une alternative à la route
Cette offre de transport représente "une véritable alternative au mode routier entre les bassins de production et de consommation du Maroc et ceux de l’Ouest européen (dont la France, le Royaume-Uni et l’Irlande)", a-t-on expliqué. Utilisant les arguments écologiques, il a été dit que "quotidiennement, les services maritimes entre Rouen-Le Havre et le Maroc contribuent à réduire l’impact carbone du transport des marchandises échangées".
Haropa a rappelé que Rouen, premier port européen pour les céréales, continue de jouer "un rôle prépondérant dans les échanges avec le Maroc". Quant au Havre, ses échanges avec le royaume chérifien ont vu depuis le mois de mars la montée en puissance des flux de véhicules Lodgy de Dacia au départ de l’usine de Tanger.
Devant plus de deux cents importateurs-exportateurs, organisateurs de transport et logisticiens marocains, Philippe Dehays, président de l’UPR, a précisé que "la qualité de la desserte Nord-Sud proposée par les ports de l’axe Seine est un véritable atout en matière de compétitivité pour les opérations import-export avec le marché marocain".
Quant à Hervé Cornède, directeur commercial du Grand Port maritime du Havre, il a souligné que "la gamme étendue d’activités et la qualité de son offre de services permettent aux acteurs économiques marocains de bénéficier des meilleures conditions pour conquérir les marchés français et européens".