Le sud-coréen Hyundai Heavy Industries, numéro un mondial de la construction navale, a obtenu le feu vert d'un de ses principaux créanciers pour un plan de restructuration de 2,6 milliards d'euros qui prévoit ventes d'actifs et suppressions d'emplois.
Hyundai Heavy a obtenu le feu vert à une vaste restructuration. Un porte-parole de la KEB Hana Bank a confirmé mercredi 1er juin qu'elle avait approuvé ce plan triennal de 3.500 milliards de wons sud-coréens destiné à maintenir le groupe à flot.
Les trois grands de la construction navale sud-coréenne - Hyundai Heavy Industries, Daewoo Marine and Shipbuilding et Samsung Heavy Industries - ont dominé le marché mondial pendant plus de dix ans. Mais, depuis peu, le ralentissement économique mondial couplé à la dégringolade des cours du pétrole ont sapé la demande en pétroliers et en porte-conteneurs. Parallèlement, la concurrence régionale, en particulier avec la Chine, et les surcapacités ont réduit les marges de rentabilité.
Une dette de 8.500 milliards de wons
Les "Trois grands" ont enregistré en 2015 des pertes totales de 8.500 milliards de wons (6,3 milliards d'euros). Hyundai Heavy cherche à réduire sa dette, actuellement de 8.500 milliards de wons, à 6.000 milliards de wons d'ici 2018. Les deux autres géants sud-coréens ont également soumis des plans de restructuration à l'approbation de leurs créanciers.
Les trois grands de la construction navale sud-coréenne - Hyundai Heavy Industries, Daewoo Marine and Shipbuilding et Samsung Heavy Industries - ont dominé le marché mondial pendant plus de dix ans. Mais, depuis peu, le ralentissement économique mondial couplé à la dégringolade des cours du pétrole ont sapé la demande en pétroliers et en porte-conteneurs. Parallèlement, la concurrence régionale, en particulier avec la Chine, et les surcapacités ont réduit les marges de rentabilité.
Une dette de 8.500 milliards de wons
Les "Trois grands" ont enregistré en 2015 des pertes totales de 8.500 milliards de wons (6,3 milliards d'euros). Hyundai Heavy cherche à réduire sa dette, actuellement de 8.500 milliards de wons, à 6.000 milliards de wons d'ici 2018. Les deux autres géants sud-coréens ont également soumis des plans de restructuration à l'approbation de leurs créanciers.