L’État et les acteurs de l’immobilier logistique, rassemblés au sein d’Afilog, avaient signé une charte d’engagements environnementaux et économiques en juillet 2021. Son premier bilan montre des avancées dans plusieurs domaines. Le manque de foncier demeure le principal enjeu pour la filière.
Lors de la Semaine de la logistique, du 16 au 19 novembre, l’Afilog et la Direction générale des entreprises (DGE) ont dressé un état d’avancement de la Charte d’engagements pour la performance environnementale et économique dans l’immobilier logistique. Signé le 28 juillet 2021 par l’État et les acteurs de la filière, ce document contient 24 engagements réciproques à mettre en œuvre jusqu’en 2027. "Le bilan est très positif", a affirmé Salvi Cals, le 16 novembre à Paris. Selon le directeur général de Panattoni France, chargé du suivi de la charte au sein d’Afilog, un nouveau dialogue s’est noué entre la profession, les pouvoirs publics et les collectivités territoriales. Mi-novembre, 56 dossiers étaient engagés dans la démarche. "Ils représentent 2,6 millions de mètres carrés (Mm2) de nouveaux projets sur 6 Mm2 de foncier. Les délais d’instruction pour les permis de construire de ces opérations…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?