Sur un trafic global frôlant la barre des 7 millions d'EVP, l'Afrique subsaharienne a pour partenaire essentiel l'Extrême-Orient, qui représente 3,7 millions d'EVP. Selon Dynaliners, le volume de ses flux a reculé de 3 % en 2016. Mais cette région du globe a importé l'an dernier presque 5 millions d'EVP, soit 5 % de moins qu'en 2015, et exporté 1,9 million d'EVP, à savoir 1 % de plus que l'année précédente.
Le marché Extrême-Orient-Afrique a reculé de 5 % l'an dernier pour s'établir à 3,7 millions d'EVP tandis que le secteur Europe-Afrique a marqué un repli de 2 %, à 2,8 millions d'EVP. Enfin, le marché Afrique du Nord-Afrique a progressé de 1 %, à 421.000 EVP, selon le consultant néerlandais Dynaliners.
En affichant une progression de 11 %, le marché Extrême-Orient-Afrique de l'Ouest s'était montré particulièrement dynamique en 2014. Mais il a marqué un recul en 2015 et 2016. Les volumes en sortie des ports ouest-africains à destination de l'Asie ont toutefois marqué un rebond de 10 %. Bien que le déséquilibre des échanges entre les deux régions se soit élevé à 870.000 EVP au détriment de la COA, ce tonnage s'est révélé le plus bas depuis 2010, selon l'étude du consultant.
Les experts constatent une nette amélioration des volumes en retour, à savoir une proportion de 27,4 EVP pour 100 EVP importés, contre 22,9 EVP pour 100 EVP en 2015.
En affichant une progression de 11 %, le marché Extrême-Orient-Afrique de l'Ouest s'était montré particulièrement dynamique en 2014. Mais il a marqué un recul en 2015 et 2016. Les volumes en sortie des ports ouest-africains à destination de l'Asie ont toutefois marqué un rebond de 10 %. Bien que le déséquilibre des échanges entre les deux régions se soit élevé à 870.000 EVP au détriment de la COA, ce tonnage s'est révélé le plus bas depuis 2010, selon l'étude du consultant.
Les experts constatent une nette amélioration des volumes en retour, à savoir une proportion de 27,4 EVP pour 100 EVP importés, contre 22,9 EVP pour 100 EVP en 2015.
