L'"Energy Observer", le premier navire à hydrogène visant l’autonomie énergétique sans émission de gaz à effet de serre ni particules fines, se dote d’ailes Oceanwings. Ce système de propulsion hybride, composé d’un mât composite de 12 mètres de haut et de deux ailes de 32 mètres carrés, doit permettre de réduire les dépenses énergétiques du navire.
Imaginées par VPLP Design, les ailes sont codéveloppées et produites dans les installations industrielles varoises de Cnim à La Seyne-sur-Mer.
Ses concepteurs ont l'ambition de leur trouver une place dans le shipping (vrac, pétrole et produits chimiques). "Leur installation à bord de l'"Energy Observer" constitue une première étape vers la réduction de l’impact environnemental du transport maritime mondial", affirment les entreprises.
Elles ajoutent que cette technologie, inspirée des ailes rigides de l’America’s Cup, permet des économies d’énergie allant de 18 à 42 % selon les navires.
D'après les concepteurs du projet, avec son système entièrement automatisé, Oceanwings offre la possibilité d’utiliser le vent comme force de propulsion, sans nécessiter un équipage rompu aux manœuvres à la voile. L’aile est équipée de capteurs reliés à une intelligence embarquée qui analyse les conditions environnementales et lui permet de s’y adapter. "En fonction du cap que l’on veut prendre, la centrale de navigation envoie des consignes de réglage directement à l’aile. Il n’y a rien à faire. Tout est automatique", explique Nicolas Sdez, ingénieur et concepteur du prototype Oceanwings chez VPLP Design.
Imaginées par VPLP Design, les ailes sont codéveloppées et produites dans les installations industrielles varoises de Cnim à La Seyne-sur-Mer.
Ses concepteurs ont l'ambition de leur trouver une place dans le shipping (vrac, pétrole et produits chimiques). "Leur installation à bord de l'"Energy Observer" constitue une première étape vers la réduction de l’impact environnemental du transport maritime mondial", affirment les entreprises.
Elles ajoutent que cette technologie, inspirée des ailes rigides de l’America’s Cup, permet des économies d’énergie allant de 18 à 42 % selon les navires.
D'après les concepteurs du projet, avec son système entièrement automatisé, Oceanwings offre la possibilité d’utiliser le vent comme force de propulsion, sans nécessiter un équipage rompu aux manœuvres à la voile. L’aile est équipée de capteurs reliés à une intelligence embarquée qui analyse les conditions environnementales et lui permet de s’y adapter. "En fonction du cap que l’on veut prendre, la centrale de navigation envoie des consignes de réglage directement à l’aile. Il n’y a rien à faire. Tout est automatique", explique Nicolas Sdez, ingénieur et concepteur du prototype Oceanwings chez VPLP Design.