L'Association du transport aérien international (IATA) a porté plainte dans le cadre d'une enquête européenne sur de possibles abus de position dominante dont sont soupçonnés des d'équipementiers aéronautiques.
En 2015, la direction de la concurrence de la Commission européenne avait envoyé des questionnaires à plusieurs intervenants du secteur, dont des compagnies membres de l'Iata, "pour vérifier les allégations d'abus de position dominante par des fabricants d'équipement d'origine (OEM)" d'avions, rappelle l'association. L'enquête de la Commission porte sur "le contrôle du marché des réparations, incluant les pièces et le service", selon la même source.
L'organisation qui regroupe 256 compagnies membres dans 117 pays, a précisé porter officiellement plainte dans le cadre de cette enquête, sans citer le nom des équipementiers visés. "C'est un sujet de profonde préoccupation pour nos membres. Il y a relativement peu de fournisseurs d'équipement et nos membres sont frustrés de constater très peu de flexibilité dans les négociations touchant les services après-vente", a déclaré Tony Tyler, directeur général et chef de la direction de l'Iata. "Les compagnies aériennes n'ont pas la possibilité de régler ce problème individuellement. C'est pourquoi l'Iata joue son rôle en tant qu'association commerciale mondiale les représentant et défendant leurs intérêts comme plaignants", a-t-il ajouté.
"Nos membres veulent pouvoir négocier les modalités contractuelles de façon plus efficace et en disposant de plus d'options que ce que la communauté OEM offre aujourd'hui. Notre réclamation vise à rééquilibrer la relation, afin que les compagnies aériennes et les OEM puissent travailler ensemble dans une véritable relation de partenariat dans le cadre d'une relation commerciale normale", a ajouté Tony Tyler.
En 2015, la direction de la concurrence de la Commission européenne avait envoyé des questionnaires à plusieurs intervenants du secteur, dont des compagnies membres de l'Iata, "pour vérifier les allégations d'abus de position dominante par des fabricants d'équipement d'origine (OEM)" d'avions, rappelle l'association. L'enquête de la Commission porte sur "le contrôle du marché des réparations, incluant les pièces et le service", selon la même source.
L'organisation qui regroupe 256 compagnies membres dans 117 pays, a précisé porter officiellement plainte dans le cadre de cette enquête, sans citer le nom des équipementiers visés. "C'est un sujet de profonde préoccupation pour nos membres. Il y a relativement peu de fournisseurs d'équipement et nos membres sont frustrés de constater très peu de flexibilité dans les négociations touchant les services après-vente", a déclaré Tony Tyler, directeur général et chef de la direction de l'Iata. "Les compagnies aériennes n'ont pas la possibilité de régler ce problème individuellement. C'est pourquoi l'Iata joue son rôle en tant qu'association commerciale mondiale les représentant et défendant leurs intérêts comme plaignants", a-t-il ajouté.
"Nos membres veulent pouvoir négocier les modalités contractuelles de façon plus efficace et en disposant de plus d'options que ce que la communauté OEM offre aujourd'hui. Notre réclamation vise à rééquilibrer la relation, afin que les compagnies aériennes et les OEM puissent travailler ensemble dans une véritable relation de partenariat dans le cadre d'une relation commerciale normale", a ajouté Tony Tyler.
