
Industriels, institutionnels et élus ont fêté les 50 ans de l’IFP Énergies Nouvelles (Ifpen) à l’hôtel de ville de Lyon © Ifpen
Plateforme d’excellence et catalyseur d’innovation dont l’expertise est internationalement reconnue, l’Ifpen est perçu souvent comme un "précurseur capable de faire vivre l’intelligence des territoires", comme l’a rappelé Henri-Michel Comet, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
"Biocarburants deuxième génération, éolien flottant, pneus «verts», biogaz, véhicules électriques… c’est dans un mode de fonctionnement gagnant-gagnant que nous travaillons avec nos partenaires pour répondre aux besoins sociétaux et relever les défis de la transition énergétique", explique Pierre-Henri Bigeard, DGA recherche et innovation.
De 30 à 800 personnes
De 30 personnes en 1967, l’institut en compte 800 aujourd’hui. Il a noué de nombreux partenariats avec de grands groupes, des pôles de compétitivité comme LUTB et Axelera, soutient des PME et des start-up, crée des filiales comme Axens, un leader sur le marché des technologies et des catalyseurs pour l’aval pétrolier, a déposé des dizaines de brevets, le tout dans une appréciable vision à long terme.
"Biocarburants deuxième génération, éolien flottant, pneus «verts», biogaz, véhicules électriques… c’est dans un mode de fonctionnement gagnant-gagnant que nous travaillons avec nos partenaires pour répondre aux besoins sociétaux et relever les défis de la transition énergétique", explique Pierre-Henri Bigeard, DGA recherche et innovation.
De 30 à 800 personnes
De 30 personnes en 1967, l’institut en compte 800 aujourd’hui. Il a noué de nombreux partenariats avec de grands groupes, des pôles de compétitivité comme LUTB et Axelera, soutient des PME et des start-up, crée des filiales comme Axens, un leader sur le marché des technologies et des catalyseurs pour l’aval pétrolier, a déposé des dizaines de brevets, le tout dans une appréciable vision à long terme.
"Relever les défis de la transition énergétique"
L’Ifpen conçoit et finalise des solutions technologiques pour réduire toujours plus la consommation des véhicules et limiter leur impact sur l’environnement. Il travaille sur les motorisations à faibles émissions, sur l’optimisation des batteries, diverses recherches profitables pour tous types de véhicules terrestres, maritimes, ferroviaires, aériens.
Fondée par trois ingénieurs Arts et Métiers, la jeune société marseillaise Enogia développe avec l’institut des solutions pour le transport routier de marchandises qui vont transformer l’énergie restant dans les gaz d’échappement et les circuits de refroidissement du moteur en énergie électrique ou mécanique afin de réduire les consommations.
"Aujourd’hui, on évolue sur le développement de simulateurs numériques pour optimiser la consommation des poids lourds. La nouvelle mouvance consiste à offrir des plateformes numériques d’aide aux transporteurs et des déclinaisons industrielles pour l’aide à la gestion des flottes", nous explique Richard Tilagone, responsable du programme Électrification…