La "barre symbolique" des 10 millions de passagers a été franchie en 2017 par l'aéroport de Lyon-Saint Exupéry. Son gestionnaire prévoit de conserver la même dynamique pour 2018.
Les 10 millions de passagers transportés ont été atteints l'année dernière par l'aéroport de Lyon-Saint Exupéry.
"Nous avons connu deux grands événements en 2017 avec l'ouverture du nouveau terminal 1 et la barre symbolique des dix millions de passagers qui a été franchie", a déclaré lors d'une conférence de presse le président du directoire d'Aéroports de Lyon (ADL), Tanguy Bertolus. Le patron du gestionnaire de la plateforme a été nommé à l'automne à la suite du rachat de 60 % du groupe par un consortium composé de Vinci Airports, la Caisse des dépôts et Crédit Agricole Assurances.
"C'est un symbole fort, on passe dans une nouvelle tranche, celle des aéroports entre 10 et 25 millions de passagers et cela nous donne des ambitions pour pérenniser cette croissance tout en nous obligeant vis-à-vis de nos passagers", a-t-il ajouté, précisant que le trafic des passagers avait augmenté de 7,6 % par rapport à 2016.
Légère baisse du fret
En 2018, 27 liaisons nouvelles seront créées à Lyon-Saint Exupéry avec "un maillage qui se densifie sur l'Europe de l'Est et du Nord", une région stratégique pour séduire les voyageurs réguliers, selon le directeur général d'ADL, Cédric Fechter.
Pour soutenir une dynamique de croissance globale "du même ordre de grandeur" en 2018, Aéroports de Lyon compte sur des marges de progression importantes sur les vols low-cost (34 % du trafic actuellement), ainsi que sur "une possibilité de développement" des vols tout cargo.
En 2017, le volume du fret a connu une baisse de 1,2 % attribuée par ADL à la suppression, pour "une raison stratégique", d'une liaison "full cargo" de la compagnie Emirates Airlines. Mais pour Tanguy Bertolus, Lyon-Saint Exupéry a un atout pour attirer le fret express (DHL, TNT, etc.) qui connaît une "dynamique assez forte" : "on a de la place pour qu'ils se développent".
L'ambition du président du directoire d'ADL est d'atteindre les "13 millions de passagers en 2025" en misant notamment sur des services innovants, à l'image de son investissement dans la start-up lyonnaise Kidygo, premier site collaboratif d'accompagnement d'enfants en avion - ou en train.
Outre Saint-Exupéry, la société comprend également la plate-forme de Bron, plus proche de Lyon, troisième aéroport d'affaires de France avec environ 10.000 mouvements par an.
"Nous avons connu deux grands événements en 2017 avec l'ouverture du nouveau terminal 1 et la barre symbolique des dix millions de passagers qui a été franchie", a déclaré lors d'une conférence de presse le président du directoire d'Aéroports de Lyon (ADL), Tanguy Bertolus. Le patron du gestionnaire de la plateforme a été nommé à l'automne à la suite du rachat de 60 % du groupe par un consortium composé de Vinci Airports, la Caisse des dépôts et Crédit Agricole Assurances.
"C'est un symbole fort, on passe dans une nouvelle tranche, celle des aéroports entre 10 et 25 millions de passagers et cela nous donne des ambitions pour pérenniser cette croissance tout en nous obligeant vis-à-vis de nos passagers", a-t-il ajouté, précisant que le trafic des passagers avait augmenté de 7,6 % par rapport à 2016.
Légère baisse du fret
En 2018, 27 liaisons nouvelles seront créées à Lyon-Saint Exupéry avec "un maillage qui se densifie sur l'Europe de l'Est et du Nord", une région stratégique pour séduire les voyageurs réguliers, selon le directeur général d'ADL, Cédric Fechter.
Pour soutenir une dynamique de croissance globale "du même ordre de grandeur" en 2018, Aéroports de Lyon compte sur des marges de progression importantes sur les vols low-cost (34 % du trafic actuellement), ainsi que sur "une possibilité de développement" des vols tout cargo.
En 2017, le volume du fret a connu une baisse de 1,2 % attribuée par ADL à la suppression, pour "une raison stratégique", d'une liaison "full cargo" de la compagnie Emirates Airlines. Mais pour Tanguy Bertolus, Lyon-Saint Exupéry a un atout pour attirer le fret express (DHL, TNT, etc.) qui connaît une "dynamique assez forte" : "on a de la place pour qu'ils se développent".
L'ambition du président du directoire d'ADL est d'atteindre les "13 millions de passagers en 2025" en misant notamment sur des services innovants, à l'image de son investissement dans la start-up lyonnaise Kidygo, premier site collaboratif d'accompagnement d'enfants en avion - ou en train.
Outre Saint-Exupéry, la société comprend également la plate-forme de Bron, plus proche de Lyon, troisième aéroport d'affaires de France avec environ 10.000 mouvements par an.
