Dans un courrier commun adressé au président d'Armateurs de France, Raymond Vidil, la Fédération des officiers de la Marine marchande et la Fédération nationale CGT des syndicats maritimes regrettent ne pas avoir "le nombre d’élèves embarqués sur les navires navigant sous pavillon français", et le nombre de jeunes, ayant effectué un temps d’élève dans une compagnie, se voyant proposer une place de marin après leur cursus scolaire. Et ce malgré leurs "différentes requêtes en commission paritaire". Les deux organisations syndicales réclament "le nombre d’élèves embarqués, par compagnie, par poste, par niveau de formation (niveau1, 2 et lycées professionnels) et par durée d’embarquement". Elles disent s'inquiéter de "la volonté des armateurs français de garder et de promouvoir ces marins français", vu "les retours" que les deux fédérations obtiennent de la part "des élèves de l’ENSM, des lycées professionnels ainsi que des jeunes après leur cursus scolaire".
Transport maritime