
© GPMM
Quatre mois après la publication du rapport de l'OCDE intitulé "La Compétitivité des villes portuaires : le cas de Marseille-Fos", le Grand Port maritime de Marseille-Fos (GPMM) rappelle qu'en 2007, le nombre d'emplois générés par l'activité portuaire s'élevait en 2007 à 41.300. Selon l’étude conduite par le cabinet Sémaphores en 2011 sur le poids économique du port phocéen, avec 5 % de progression, ce chiffre atteignait quatre ans plus tard la barre des 43.500, soit 8 % des emplois salariés privés des Bouches-du-Rhône.
"Sans surprise, ce sont les secteurs de l’industrie, des grandes familles professionnelles portuaires et de la logistique terrestre de marchandises qui concentrent le plus d’emplois liés", indique l'établissement, ajoutant que 22 % des effectifs industriels du département sont liés au port, soit près de 16.000 emplois malgré une baisse de 6 % sur la période, effet de la crise. À l’opposé, les professions portuaires résistent plutôt bien dans le contexte actuel et comptent 5 % d’emplois de plus qu’en 2007 (soit 13.100 emplois).
12 % de croissance des effectifs dans la logistique terrestre
Et de souligner que c'est la logistique terrestre qui tire le mieux sont épingle du jeu avec une croissance de 12 % des effectifs liés à l’activité portuaire depuis 2007 (soit 11.500 emplois), grâce à l’ouverture de nouveaux entrepôts.
Depuis 2007, l’emploi lié au port s’est renforcé sur les territoires où se développent des activités de logistique terrestre et maritime comme le SAN Ouest Provence, grâce aux plates-formes de Clesud et Distriport notamment.
Avec plus de 18.000 emplois liés sur son territoire, dont 75 % des professions portuaires, la communauté urbaine de Marseille semble confirmer son attractivité pour le tertiaire maritime et portuaire. Dans les prochaines années, l’augmentation attendue du trafic conteneurisé devrait venir encore renforcer le poids économique du port dans son environnement local. D'autant que le GPMM table sur un trafic global de 5 millions d'EVP à l'horizon 2025.
"Sans surprise, ce sont les secteurs de l’industrie, des grandes familles professionnelles portuaires et de la logistique terrestre de marchandises qui concentrent le plus d’emplois liés", indique l'établissement, ajoutant que 22 % des effectifs industriels du département sont liés au port, soit près de 16.000 emplois malgré une baisse de 6 % sur la période, effet de la crise. À l’opposé, les professions portuaires résistent plutôt bien dans le contexte actuel et comptent 5 % d’emplois de plus qu’en 2007 (soit 13.100 emplois).
12 % de croissance des effectifs dans la logistique terrestre
Et de souligner que c'est la logistique terrestre qui tire le mieux sont épingle du jeu avec une croissance de 12 % des effectifs liés à l’activité portuaire depuis 2007 (soit 11.500 emplois), grâce à l’ouverture de nouveaux entrepôts.
Depuis 2007, l’emploi lié au port s’est renforcé sur les territoires où se développent des activités de logistique terrestre et maritime comme le SAN Ouest Provence, grâce aux plates-formes de Clesud et Distriport notamment.
Avec plus de 18.000 emplois liés sur son territoire, dont 75 % des professions portuaires, la communauté urbaine de Marseille semble confirmer son attractivité pour le tertiaire maritime et portuaire. Dans les prochaines années, l’augmentation attendue du trafic conteneurisé devrait venir encore renforcer le poids économique du port dans son environnement local. D'autant que le GPMM table sur un trafic global de 5 millions d'EVP à l'horizon 2025.