L’industrie chimique veut accroître le transport fluvio-maritime dans le sillon rhodanien

L’Union des industries chimiques vient de lancer une étude sur le transport de produits chimiques par voie d’eau dans les bassins Rhône-Saône-Méditerranée.
Chez Kem One, le transport fluvial, on connaît. Et on pratique. Le fabricant de PVC utilise la voie d’eau, le Rhône, pour faire la navette entre ses sites lyonnais et marseillais de Lavéra et Fos, et transporter du chlorure de vinyle. Mais parfois, il arrive que la machine se grippe. Comme cet hiver où les barges affrétées par le groupe lyonnais sont restées en rade une dizaine de jours pour cause d’intempéries.
Cette entreprise reste néanmoins un exemple à suivre dans le secteur de la chimie pour le transport fluvial, vecteur d’une industrie plus durable. C’est dans cette perspective que l’Union des industries chimiques (UIC), en partenariat avec Voies navigables de France (VNF), la Compagnie nationale du Rhône (CNR) et le Grand Port maritime de Marseille (GPMM), vient de lancer une étude "pour évaluer la faisabilité du transport de produits chimiques par la voie d’eau sur les bassins Rhône-Saône-Méditerranée". Cette étude a été confiée à un cabinet spécialisé CTS, associé à une consultante spécialiste des problématiques et sites chimiques.

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