Élisabeth Ayrault, présidente du directoire de la Compagnie nationale du Rhône, a choisi de présenter ses vœux aux cadres et partenaires de l’entreprise à la "nouvelle" CCI de Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne, fruit d’une récente fusion des trois chambres.
Concessionnaire du fleuve Rhône, gestionnaire du Port de Lyon, "outil industriel majeur et acteur du transport fluvial, un métier d’avenir qui mérite mieux", premier producteur français d’énergie verte, aménageur du territoire qui participe pleinement à l’économie locale et régionale, la Compagnie nationale du Rhône (CNR) est insuffisamment connue selon la présidente qui en a rappelé les actionnaires avec Engie (49,97 %) qui "apporte son expertise", la Caisse des dépôts et consignations qui "permet de mieux comprendre les territoires" et les 183 collectivités qui "facilitent une intégration exceptionnelle aux territoires".
Si l’année 2015 a été, en France, dramatique sous certains aspects, pour la CNR, plusieurs faits en ont jalonné les mois. On rappellera notamment la promulgation de la loi sur la transition énergétique "imparfaite, peut-être mais elle existe", la conférence mondiale sur le climat Cop21 "imparfaite, peut-être mais elle a conduit les États à accepter de reconnaître les problèmes". 2015 a donc été, selon Mme Ayrault, "une année de prise de conscience en matière d’énergie". "Arrêtons d’appauvrir la planète", a encore lancé la présidente, martelant qu’en la matière "le modèle CNR que beaucoup nous envient a un rôle déterminant à jouer eu égard à toutes ses expertises".
Augmenter la production
2016 sera une année très importante. À propos de la prolongation de la concession de la CNR au-delà de 2023 grâce à l’adoption en octobre 2014 de "l’amendement CNR" inscrit ensuite dans la loi sur la transition énergétique, Élisabeth Ayrault reste sur le qui-vive face à sa compatibilité avec la directive européenne. "Rien n’est encore fait. Il reste un long parcours du combattant législatif".
La CNR a aussi le dessein de multiplier par trois la puissance installée d’ici 2020. La Compagnie a remporté récemment cinq contrats concernant des centrales photovoltaïques pour une puissance installée de plus de 18 MWc et pour chaque dossier elle a à cœur de faire travailler les entreprises régionales comme Sillia en l’occurrence. Mme Ayrault mise aussi sur le développement de l’hydrogène. L’énergéticien est aussi le premier contributeur au Plan Rhône. Avec l’État, l’UE et d’autres institutions, elle apporte "de la cohérence dans l’aménagement".
La CNR a aussi l’intention de renforcer ses actions en direction des jeunes bien formés mais aussi des autres en s’appuyant sur toutes les volontés universitaires, industrielles, des collectivités et du grand public.
Si l’année 2015 a été, en France, dramatique sous certains aspects, pour la CNR, plusieurs faits en ont jalonné les mois. On rappellera notamment la promulgation de la loi sur la transition énergétique "imparfaite, peut-être mais elle existe", la conférence mondiale sur le climat Cop21 "imparfaite, peut-être mais elle a conduit les États à accepter de reconnaître les problèmes". 2015 a donc été, selon Mme Ayrault, "une année de prise de conscience en matière d’énergie". "Arrêtons d’appauvrir la planète", a encore lancé la présidente, martelant qu’en la matière "le modèle CNR que beaucoup nous envient a un rôle déterminant à jouer eu égard à toutes ses expertises".
Augmenter la production
2016 sera une année très importante. À propos de la prolongation de la concession de la CNR au-delà de 2023 grâce à l’adoption en octobre 2014 de "l’amendement CNR" inscrit ensuite dans la loi sur la transition énergétique, Élisabeth Ayrault reste sur le qui-vive face à sa compatibilité avec la directive européenne. "Rien n’est encore fait. Il reste un long parcours du combattant législatif".
La CNR a aussi le dessein de multiplier par trois la puissance installée d’ici 2020. La Compagnie a remporté récemment cinq contrats concernant des centrales photovoltaïques pour une puissance installée de plus de 18 MWc et pour chaque dossier elle a à cœur de faire travailler les entreprises régionales comme Sillia en l’occurrence. Mme Ayrault mise aussi sur le développement de l’hydrogène. L’énergéticien est aussi le premier contributeur au Plan Rhône. Avec l’État, l’UE et d’autres institutions, elle apporte "de la cohérence dans l’aménagement".
La CNR a aussi l’intention de renforcer ses actions en direction des jeunes bien formés mais aussi des autres en s’appuyant sur toutes les volontés universitaires, industrielles, des collectivités et du grand public.
