La Fédération nationale des ports et docks CGT (FNPD-CGT) appelle les travailleurs portuaires et les dockers des ports français à la suppression des heures supplémentaires et des shifts exceptionnels, à 4 heures d'arrêt de travail le 3 décembre 2018 et à 24 heures de grève le 13 décembre 2018.
Les revendications de l'organisation syndicale portent sur les orientations stratégiques présentées lors du dernier Cimer qui s'est tenu à Dunkerque. La FNPD-CGT juge "inacceptable d'annoncer sans réelle concertation une nouvelle réforme sur la gouvernance (des ports) et un modèle économique".
Elle "s'oppose à toute régionalisation des Grand Ports maritimes, la fusion de l'axe Seine, la transformation des ports en gestionnaires capitalistes, la remise en cause des acquis (sociaux), la menace des emplois, les différents services par des contrats d'objectifs, la taxe carbone qui va détruire des centaines d'emplois".
La fédération "refuse d'engager des discussions tant que le gouvernement ne modifiera sa position". Tel est le message qu'elle a adressé au ministère chargé des Transports à l'occasion de sa rencontre du 27 novembre.
Elle indique vouloir décider le 18 décembre des suites à donner à sa mobilisation "si le gouvernement s'entête à maintenir ses orientations".
Les revendications de l'organisation syndicale portent sur les orientations stratégiques présentées lors du dernier Cimer qui s'est tenu à Dunkerque. La FNPD-CGT juge "inacceptable d'annoncer sans réelle concertation une nouvelle réforme sur la gouvernance (des ports) et un modèle économique".
Elle "s'oppose à toute régionalisation des Grand Ports maritimes, la fusion de l'axe Seine, la transformation des ports en gestionnaires capitalistes, la remise en cause des acquis (sociaux), la menace des emplois, les différents services par des contrats d'objectifs, la taxe carbone qui va détruire des centaines d'emplois".
La fédération "refuse d'engager des discussions tant que le gouvernement ne modifiera sa position". Tel est le message qu'elle a adressé au ministère chargé des Transports à l'occasion de sa rencontre du 27 novembre.
Elle indique vouloir décider le 18 décembre des suites à donner à sa mobilisation "si le gouvernement s'entête à maintenir ses orientations".