À la veille d’une nouvelle politique portuaire commune, la Federation of European Private Port Operators (Feport) se dit vigilante face aux menaces de libéralisation des services portuaires. Et veut la reconnaissance des investissements et des métiers.
Les futures directives sur les concessions, sur la limitation des émissions de soufre des navires dans les zones de la mer Baltique, la mer du Nord et la Manche, mais surtout les nouvelles propositions de la Commission européenne en termes de politique portuaire commune : autant de sujets traités lors de l’assemblée générale de la Federation of European Private Port Operators (Feport), les 7 et 8 juin derniers au Havre. L’association basée à Bruxelles vise à défendre les intérêts de la quarantaine de ses membres, associations et entreprises d’opérateurs de terminaux portuaires auprès des institutions européennes.