La France refuse de faire marche arrière sur le salaire minimum des routiers étrangers

Le gouvernement n'entend pas revenir sur sa décision d'imposer le Smic aux chauffeurs routiers étrangers travaillant en France et maintient sa "position ferme" malgré une mise en demeure de la Commission européenne.
La France refuse de faire marche arrière sur le salaire minimum des routiers étrangers, a affirmé jeudi 8 septembre le secrétaire d'État aux Transports, Alain Vidalies. "La position de la France est ferme. Nous sommes pour un marché transparent, avec une loyauté pour parvenir à la libre concurrence", a déclaré Alain Vidalies, venu assister à une opération de contrôle de camions de marchandises, sur une aire d'autoroute près d'Orléans. "Ce que j'ai vu aujourd'hui me confirme que la situation est très préoccupante", a-t-il ajouté, dénonçant des "systèmes de fraude sophistiqués (...) probablement très organisés à grande échelle".

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