Le port de La Rochelle a affiché en 2021 un trafic en stabilité par rapport à l'année précédente. Pour 2022, l'établissement portuaire attend des "volumes céréaliers plus soutenus".
Avec une activité de 8.845.732 tonnes, le port de La Rochelle a achevé 2021 en stagnation par rapport à l'année précédente. Il n'a vu son trafic global s'éroder de 0,9 % seulement.
La filière céréales et oléagineux a conservé la première place en termes de volume avec 3,241 millions de tonnes.
Autre filière figurant parmi les principaux trafics rochelais, les produits énergétiques et pétroliers. En progression de 2 % en un an, ils ont atteint 2,82 millions de tonnes. Selon la direction de l'établissement, ce tonnage est resté dans la moyenne décennale. Un chiffre qu'elle évalue à 2,7 millions de tonnes.
Quant aux produits du BTP, avec 1,14 million de tonnes, ils ont enregistré une croissance de 23 %. Une hausse due à la reprise globale de la construction leur a permis d'accéder à la troisième place des principales filières du port rochelais.
Les produits forestiers en progression
En revanche, les vracs agricoles ont enregistré en 2021 une diminution de 7 %. Une baisse que la direction attribue à "la tendance élevée des cours mondiaux dans le secteur et à la part de blé fourrager plus importante dans la récolte française".
Les produits forestiers et papetiers ont progressé de 12 % par rapport à 2020. Pour le Grand Port maritime, à l'exception des grumes, dont la première transformation s'effectue toujours plus dans les pays d'origine, les bois de sciage, de placage, ainsi que la pâte à papier et les pellets, gagnent régulièrement en volume d'activité.
Quant aux trafics divers rochelais, ils ont bondi de 90 % lors de l'année écoulée. L'établissement portuaire explique à cet égard que si cette filière, s'articulant autour des colis lourds, des produits métallurgiques et du conteneur, a pris la vedette en 2021 c'est grâce à au trafic lié aux énergies marines renouvelables (EMR) généré par la construction du parc éolien en mer de Saint-Nazaire.
Trafics conventionnels
Quelque 38 escales ont été comptabilisées, dont 20 pour le navire conventionnel "Svenja", venant débarquer des monopieux et autres pièces en stockage sur les terre-pleins, et 18 pour le navire "'Innovation" qui a les rechargés pour les installer sur le site du champ éolien.
Pour Anthony Vélot, directeur Marketing et Patrimoine du port de La Rochelle, "au terme d’une année à nouveau atypique, nous constatons que les fondamentaux du port se maintiennent et que les pistes de développement se confirment".
Se montrant résolument optimiste pour l'année venant de démarrer, il estime que "2022 se présente sous de meilleurs auspices, citant "notamment la perspective de volumes céréaliers plus soutenus et une nouvelle offre de service pour les vracs agricoles avec la nouvelle ligne d’ensachage proposée par l’opérateur Atena".
La filière céréales et oléagineux a conservé la première place en termes de volume avec 3,241 millions de tonnes.
Autre filière figurant parmi les principaux trafics rochelais, les produits énergétiques et pétroliers. En progression de 2 % en un an, ils ont atteint 2,82 millions de tonnes. Selon la direction de l'établissement, ce tonnage est resté dans la moyenne décennale. Un chiffre qu'elle évalue à 2,7 millions de tonnes.
Quant aux produits du BTP, avec 1,14 million de tonnes, ils ont enregistré une croissance de 23 %. Une hausse due à la reprise globale de la construction leur a permis d'accéder à la troisième place des principales filières du port rochelais.
Les produits forestiers en progression
En revanche, les vracs agricoles ont enregistré en 2021 une diminution de 7 %. Une baisse que la direction attribue à "la tendance élevée des cours mondiaux dans le secteur et à la part de blé fourrager plus importante dans la récolte française".
Les produits forestiers et papetiers ont progressé de 12 % par rapport à 2020. Pour le Grand Port maritime, à l'exception des grumes, dont la première transformation s'effectue toujours plus dans les pays d'origine, les bois de sciage, de placage, ainsi que la pâte à papier et les pellets, gagnent régulièrement en volume d'activité.
Quant aux trafics divers rochelais, ils ont bondi de 90 % lors de l'année écoulée. L'établissement portuaire explique à cet égard que si cette filière, s'articulant autour des colis lourds, des produits métallurgiques et du conteneur, a pris la vedette en 2021 c'est grâce à au trafic lié aux énergies marines renouvelables (EMR) généré par la construction du parc éolien en mer de Saint-Nazaire.
Trafics conventionnels
Quelque 38 escales ont été comptabilisées, dont 20 pour le navire conventionnel "Svenja", venant débarquer des monopieux et autres pièces en stockage sur les terre-pleins, et 18 pour le navire "'Innovation" qui a les rechargés pour les installer sur le site du champ éolien.
Pour Anthony Vélot, directeur Marketing et Patrimoine du port de La Rochelle, "au terme d’une année à nouveau atypique, nous constatons que les fondamentaux du port se maintiennent et que les pistes de développement se confirment".
Se montrant résolument optimiste pour l'année venant de démarrer, il estime que "2022 se présente sous de meilleurs auspices, citant "notamment la perspective de volumes céréaliers plus soutenus et une nouvelle offre de service pour les vracs agricoles avec la nouvelle ligne d’ensachage proposée par l’opérateur Atena".
