Le fonds souverain russe RDIF a annoncé avoir investi dans la start-up américaine Hyperloop One, dont le projet futuriste de train à très grande vitesse fait rêver depuis plusieurs semaines la Russie, de Moscou à l'Extrême-Orient.
Le Fonds russe des investissements directs a expliqué avoir participé, pour un montant non dévoilé, à la dernière levée de fonds de la société Hyperloop One en avril, aux côtés notamment de l'américain General Electric (GE) ou de la société ferroviaire française SNCF. Son patron Kirill Dmitriev a précisé que l'investissement était "très modeste" mais que l'objectif était de mettre en œuvre Hyperloop en Russie.
Projets à l'étude
"Nous réfléchissons actuellement avec (la société russe des chemins de fer) RZD aux premiers projets pilotes et nous espérons commencer à tester ces technologies en Russie au plus vite", a-t-il souligné.
La jeune société américaine a testé son système pour la première fois en public en mai, dans le désert américain. Son train est censé à terme propulser des capsules à 1.200 km/h sur des coussins d'air dans un tube à basse pression.
Lors du Forum, Hyperloop One a signé un accord préliminaire avec la mairie de Moscou et le groupe russe d'investissements Soumma en vue d'étudier de possibles itinéraires dans la capitale russe.
Le ministre des Transports Maxime Sokolov a pour sa part évoqué la possibilité d'une ligne de 70 kilomètres entre les régions industrielles chinoises et le port russe de Zaroubino, dans l'Extrême-Orient russe. Un tel projet pourrait coûter jusqu'à 40 milliards de roubles (550 millions d'euros) et être soutenu par Pékin dans le cadre du projet de renaissance de la Route de la Soie entre la Chine et l'Europe.
Projets à l'étude
"Nous réfléchissons actuellement avec (la société russe des chemins de fer) RZD aux premiers projets pilotes et nous espérons commencer à tester ces technologies en Russie au plus vite", a-t-il souligné.
La jeune société américaine a testé son système pour la première fois en public en mai, dans le désert américain. Son train est censé à terme propulser des capsules à 1.200 km/h sur des coussins d'air dans un tube à basse pression.
Lors du Forum, Hyperloop One a signé un accord préliminaire avec la mairie de Moscou et le groupe russe d'investissements Soumma en vue d'étudier de possibles itinéraires dans la capitale russe.
Le ministre des Transports Maxime Sokolov a pour sa part évoqué la possibilité d'une ligne de 70 kilomètres entre les régions industrielles chinoises et le port russe de Zaroubino, dans l'Extrême-Orient russe. Un tel projet pourrait coûter jusqu'à 40 milliards de roubles (550 millions d'euros) et être soutenu par Pékin dans le cadre du projet de renaissance de la Route de la Soie entre la Chine et l'Europe.
