Maurel et Prom a publié un chiffre d'affaires en forte baisse au premier semestre, en raison de la chute du prix du pétrole.
Maurel et Prom a subi le recul du prix du brut au cours des six premiers mois de l'année. Le chiffre d'affaires de la compagnie pétrolière française a ainsi enregistré une chute de 47 % à 157,8 millions d'euros. Le prix de vente moyen du baril de pétrole a chuté de près de 50 % en un an, passant de 107,8 dollars à 53,5 dollars le baril ce semestre, rappelle Maurel et Prom.
Dans le même temps, le niveau de production du groupe, essentiellement présent au Gabon, a reculé de 13 % sur le premier semestre à cause de contraintes techniques. D'un autre côté, l'amélioration de 23 % de la parité dollar/euro a permis à la société de "compenser partiellement l'effet conjoint de la baisse des quantités vendues et de la chute des prix du pétrole, aboutissant au total à la baisse du chiffre d'affaires du premier semestre 2015", observe le groupe.
Le forage pénalisé
"Fortement pénalisée par la réduction drastique des programmes d'investissement des opérateurs pétroliers", l'activité de forage a enregistré un chiffre d'affaires de 33,6 millions d'euros répartis entre le Gabon (68 %), le Congo (15 %) et la Tanzanie (17 %).
Le groupe a annoncé concentrer son programme d'investissements sur l'augmentation des capacités gabonaises de génération électrique, de traitement huile/eau et d'injection d'eau de 25.000 à 70.000 barils par jour. Il espère atteindre "un niveau de production d'huile de l'ordre de 30.000 b/j au Gabon d'ici la fin de l'exercice en cours", puis une capacité de production de 35.000 b/j en 2016.
Par ailleurs, le groupe pétrolier a annoncé poursuivre "son programme de réduction des coûts dont le plein effet va s'exprimer au cours du second semestre 2015".
Dans le même temps, le niveau de production du groupe, essentiellement présent au Gabon, a reculé de 13 % sur le premier semestre à cause de contraintes techniques. D'un autre côté, l'amélioration de 23 % de la parité dollar/euro a permis à la société de "compenser partiellement l'effet conjoint de la baisse des quantités vendues et de la chute des prix du pétrole, aboutissant au total à la baisse du chiffre d'affaires du premier semestre 2015", observe le groupe.
Le forage pénalisé
"Fortement pénalisée par la réduction drastique des programmes d'investissement des opérateurs pétroliers", l'activité de forage a enregistré un chiffre d'affaires de 33,6 millions d'euros répartis entre le Gabon (68 %), le Congo (15 %) et la Tanzanie (17 %).
Le groupe a annoncé concentrer son programme d'investissements sur l'augmentation des capacités gabonaises de génération électrique, de traitement huile/eau et d'injection d'eau de 25.000 à 70.000 barils par jour. Il espère atteindre "un niveau de production d'huile de l'ordre de 30.000 b/j au Gabon d'ici la fin de l'exercice en cours", puis une capacité de production de 35.000 b/j en 2016.
Par ailleurs, le groupe pétrolier a annoncé poursuivre "son programme de réduction des coûts dont le plein effet va s'exprimer au cours du second semestre 2015".
