La crise irano-saoudienne ne devrait pas bouleverser l'Opep

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Le regain de tensions entre l'Iran et l'Arabie saoudite pourrait mettre encore un peu plus à mal la cohésion de l'Opep, déjà durement mise à l'épreuve par la chute des cours, mais sans bouleverser non plus la stratégie du cartel.
"Ce qui se passe actuellement entre l'Iran et l'Arabie saoudite rend encore plus difficile la recherche d'une solution et d'un compromis" au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) face à la chute des prix de l'or noir, juge Francis Perrin, président de Stratégies et politiques énergétiques. Alors que les prix du brut ont plongé depuis l'été 2014, perdant plus de 60 % de leur valeur pour tomber à moins de 40 dollars, le cartel est en proie à de profondes divisions sur la stratégie à adopter. L'Arabie saoudite, premier producteur de l'Opep Les pays du Golfe menés par l'Arabie saoudite, premier producteur de l'Opep, refusent, si les pays producteurs non membres de l'organisation ne s'engagent pas sur la même voie, à ce qu'elle réduise sa production, ce qui aurait pourtant pour effet de faire remonter les prix. Fort de leur domination sur le cartel, ils ont jusqu'ici imposé leurs vues. Mais cet immobilisme pénalise fortement…
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