
© CHRISTOPHE DONNARD
Le démantèlement découpe du vraquier «TK Bremen», échoué depuis le 16 décembre sur la plage d'Erdeven (Morbihan) lors de la tempête Joachim, a débuté samedi 7 janvier. Des premiers essais de cisaillage réalisés la veille en début de nuit par la grue géante, assemblée sur place s'étaient révélés "très satisfaisants", selon Peter Tromp, un des responsables de l'entreprise néerlandaise Euro Demolition, chargée du démantèlement du navire.
Le «TK Bremen» sera découpé en petits morceaux, de haut en bas, pour préserver sa stabilité. La ferraille du navire, soit environ 2.000 tonnes, passera ensuite par la filière de recyclage. Le cisaillage ne doit prendre que trois semaines, sauf en cas d'intempéries. Les semaines suivantes seront consacrées "à la remise en état du site" dunaire de Kerminihy, classé Natura 2000, qui doit être entièrement réhabilité au 6 avril, selon la préfecture.
Selon Euro Demolition, ce chantier ne représente pas de difficulté particulière. Seuls quelques éléments du navire vont échapper à la découpe en morceaux, comme le bloc moteur, qui va être enlevé complet pour éviter les fuites de fluides, et l'hélice qui doit être conservée en souvenir.
L'évacuation des pièces amiantées du navire devait prendre "moins d'une journée car les quantités sont beaucoup moins importantes qu'annoncé", selon Jean-Pierre Labonne, le préfet maritime de l'Atlantique. Le chantier, piloté par Euro Demolition dont six spécialistes sont sur place, fait également appel à des entreprises locales.
Le «TK Bremen» sera découpé en petits morceaux, de haut en bas, pour préserver sa stabilité. La ferraille du navire, soit environ 2.000 tonnes, passera ensuite par la filière de recyclage. Le cisaillage ne doit prendre que trois semaines, sauf en cas d'intempéries. Les semaines suivantes seront consacrées "à la remise en état du site" dunaire de Kerminihy, classé Natura 2000, qui doit être entièrement réhabilité au 6 avril, selon la préfecture.
Selon Euro Demolition, ce chantier ne représente pas de difficulté particulière. Seuls quelques éléments du navire vont échapper à la découpe en morceaux, comme le bloc moteur, qui va être enlevé complet pour éviter les fuites de fluides, et l'hélice qui doit être conservée en souvenir.
L'évacuation des pièces amiantées du navire devait prendre "moins d'une journée car les quantités sont beaucoup moins importantes qu'annoncé", selon Jean-Pierre Labonne, le préfet maritime de l'Atlantique. Le chantier, piloté par Euro Demolition dont six spécialistes sont sur place, fait également appel à des entreprises locales.