Clasquin continue d'afficher une bonne santé par rapport au marché mondial. Dans un environnement marqué par le ralentissement de la croissance des échanges internationaux, affectant particulièrement le marché mondial du fret aérien, le commissionnaire de transport international et logisticien affiche une croissance de 3,2 % de son chiffre d'affaires (154 millions d'euros) au premier semestre 2019.
Cette hausse de l'activité est accompagnée par une croissance de la marge commerciale brute (+ 7 %) "portée par l'activité maritime mais surtout par l’activité ro-ro entre la France et le Maghreb et par le développement des activités douanes et logistiques", commente le groupe lyonnais.
Déjà ancré sur les cinq continents avec une soixantaine d’implantations, Clasquin continue de tisser sa toile mondiale. Les six premiers mois de l'exercice ont notamment été marqués par l'ouverture d'un bureau à Tianjin (Chine), par le développement des activités avec l'Afrique conformément au plan de marche annoncé, ainsi que par une "très forte croissance" de l'activité aux États-Unis.
Toujours en Amérique du Nord, le groupe dirigé par Yves Revol a annoncé, courant juillet, le lancement de négociations exclusives en vue de l'acquisition d'une société au Canada, dont le nom n'a pas encore été révélé. Spécialisée dans le transport international au départ et à destination du Canada, celle-ci réalise un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 50 millions de dollars canadiens (environ 34 millions d'euros). Le bouclage de l'opération est envisagé d'ici à la fin de l'année.
Nouvelle implantation à Rungis
En France, outre la création d'un bureau à Nice, Clasquin, coté en bourse, a ouvert, en mars, un bureau et un entrepôt à Rungis, spécialisés dans le transport de produits alimentaires périssables sous température contrôlée.
Porté par sa bonne dynamique actuelle, le groupe table, pour l'ensemble de l'exercice 2019, sur une "croissance globale significativement supérieure à celle du marché", alors que le secteur prévoit, au niveau mondial, une progression des volumes de 1 à 2 % pour le maritime ainsi qu'une stagnation, voire une baisse, de l'aérien.
Cette hausse de l'activité est accompagnée par une croissance de la marge commerciale brute (+ 7 %) "portée par l'activité maritime mais surtout par l’activité ro-ro entre la France et le Maghreb et par le développement des activités douanes et logistiques", commente le groupe lyonnais.
Déjà ancré sur les cinq continents avec une soixantaine d’implantations, Clasquin continue de tisser sa toile mondiale. Les six premiers mois de l'exercice ont notamment été marqués par l'ouverture d'un bureau à Tianjin (Chine), par le développement des activités avec l'Afrique conformément au plan de marche annoncé, ainsi que par une "très forte croissance" de l'activité aux États-Unis.
Toujours en Amérique du Nord, le groupe dirigé par Yves Revol a annoncé, courant juillet, le lancement de négociations exclusives en vue de l'acquisition d'une société au Canada, dont le nom n'a pas encore été révélé. Spécialisée dans le transport international au départ et à destination du Canada, celle-ci réalise un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 50 millions de dollars canadiens (environ 34 millions d'euros). Le bouclage de l'opération est envisagé d'ici à la fin de l'année.
Nouvelle implantation à Rungis
En France, outre la création d'un bureau à Nice, Clasquin, coté en bourse, a ouvert, en mars, un bureau et un entrepôt à Rungis, spécialisés dans le transport de produits alimentaires périssables sous température contrôlée.
Porté par sa bonne dynamique actuelle, le groupe table, pour l'ensemble de l'exercice 2019, sur une "croissance globale significativement supérieure à celle du marché", alors que le secteur prévoit, au niveau mondial, une progression des volumes de 1 à 2 % pour le maritime ainsi qu'une stagnation, voire une baisse, de l'aérien.