La compagnie aérienne scandinave SAS a annoncé mercredi 4 septembre que son plan de restructuration portait ses fruits et qu'elle avait dégagé un bénéfice net en hausse de 58 % au troisième trimestre, à 844 millions de couronnes (96,7 millions d'euros).
La restructuration de SAS porte ses fruits, avec un bénéfice en forte hausse de 58 % au troisième trimestre, à hauteur de 96,7 millions d'euros. Le chiffre d'affaires a lui légèrement reculé (- 0,3 %), à 11,593 milliards de couronnes, sur la période, qui s'étend de mai à juillet. "C'est réjouissant de savoir que nos sacrifices portent leurs fruits", a indiqué le PDG du groupe, Rickard Gustafson.
Cession de Wideroe
En difficulté financière depuis des années, la compagnie détenue à 50 % par les États suédois, danois et norvégien a lancé en novembre 2012 un plan de restructuration draconien prévoyant notamment des baisses de salaires et 3 milliards de couronnes suédoises (plus de 360 millions d'euros) de cessions. Le groupe a ainsi annoncé en mai la cession de 80 % de la compagnie régionale norvégienne Wideroe à des investisseurs norvégiens dans le cadre d'un plan de restructuration.
Selon le rapport financier trimestriel, les nouvelles conditions salariales, en vigueur depuis le printemps, ont permis d'augmenter la productivité de 4 %. "Tout est très positif. Mais nous savons bien qu'un trimestre n'est pas toute une année et que la concurrence est rude. Nous savons que nous allons mettre en œuvre notre programme de restructuration jusqu'au bout. C'est notre objectif", a dit Rickard Gustafson.
Cession de Wideroe
En difficulté financière depuis des années, la compagnie détenue à 50 % par les États suédois, danois et norvégien a lancé en novembre 2012 un plan de restructuration draconien prévoyant notamment des baisses de salaires et 3 milliards de couronnes suédoises (plus de 360 millions d'euros) de cessions. Le groupe a ainsi annoncé en mai la cession de 80 % de la compagnie régionale norvégienne Wideroe à des investisseurs norvégiens dans le cadre d'un plan de restructuration.
Selon le rapport financier trimestriel, les nouvelles conditions salariales, en vigueur depuis le printemps, ont permis d'augmenter la productivité de 4 %. "Tout est très positif. Mais nous savons bien qu'un trimestre n'est pas toute une année et que la concurrence est rude. Nous savons que nous allons mettre en œuvre notre programme de restructuration jusqu'au bout. C'est notre objectif", a dit Rickard Gustafson.
