Chaque armement doit désigner un officier de sûreté de compagnie (« Company Security Officer », CSO) capable d’assurer une veille 24 h/24 de tous les navires. Ce CSO est l’interlocuteur privilégié de l’officier de sûreté (SSO) de chaque navire.
Comme pour les ports, les navires sont tenus d’évaluer leurs risques. Cette évaluation doit être faite par le CSO aidé ou non d’une société de sûreté agréée (« Recognised Security Organisation »). Cette évaluation des risques doit permettre d’élaborer des plans de sûreté (« Ship Security Plan ») adaptés à chaque navire. Ils doivent être soumis pour approbation à l’administration.
À l’issue de l’analyse du plan de sûreté et d’une certification initiale du navire, un « Certificat international de sûreté du navire » sera délivré par l’administration.
Cette évaluation peut en outre rendre obligatoires certains équipements de sûreté (portiques détecteurs de métaux, caméras de surveillance avec dispositifs d’enregistrement, outils de communication...). Les plans de sûreté doivent faire l’objet d’audits et les mesures, de contrôles internes et externes.
Des résolutions complémentaires sont à l’étude. Elles sont relatives à :
- la formation du personnel inscrit maritime sur le plan de la sûreté (convention STCW) ;
- la mise en place d’une pièce d’identité internationale pour les inscrits maritimes ;
- la mise en place de dispositifs d’identification et de positionnement à longue distance des navires.
Comme pour les ports, les navires sont tenus d’évaluer leurs risques. Cette évaluation doit être faite par le CSO aidé ou non d’une société de sûreté agréée (« Recognised Security Organisation »). Cette évaluation des risques doit permettre d’élaborer des plans de sûreté (« Ship Security Plan ») adaptés à chaque navire. Ils doivent être soumis pour approbation à l’administration.
À l’issue de l’analyse du plan de sûreté et d’une certification initiale du navire, un « Certificat international de sûreté du navire » sera délivré par l’administration.
Cette évaluation peut en outre rendre obligatoires certains équipements de sûreté (portiques détecteurs de métaux, caméras de surveillance avec dispositifs d’enregistrement, outils de communication...). Les plans de sûreté doivent faire l’objet d’audits et les mesures, de contrôles internes et externes.
Des résolutions complémentaires sont à l’étude. Elles sont relatives à :
- la formation du personnel inscrit maritime sur le plan de la sûreté (convention STCW) ;
- la mise en place d’une pièce d’identité internationale pour les inscrits maritimes ;
- la mise en place de dispositifs d’identification et de positionnement à longue distance des navires.