La construction du parc éolien en mer de Fécamp est désormais lancée, après la signature ce week-end des derniers accords de financement.
EDF Renouvelables, Enbridge et wpd, membres du consortium porteur du projet, ont finalisé le financement du futur parc éolien en mer de Fécamp. Ce site, composé de 71 éoliennes situées entre 13 et 22 kilomètres des côtes, doit être mis en service à l'horizon 2023.
Ce parc d'une capacité de 500 mégawatts (MW) produira l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 770.000 personnes, soit plus de 60 % des habitants de Seine-Maritime, affirment les trois entreprises.
Deuxième champ à démarrer
La France accuse un retard de développement dans l'éolien offshore, pour à la fois des difficultés techniques, politiques ou des recours judiciaires. Le parc de Saint-Nazaire devrait être le premier à démarrer, en 2022.
Le projet de Fécamp a été attribué en 2012 par le gouvernement français à EDF, qui s'est associé à l'entreprise de fourniture énergétique canadienne Enbridge. Les deux entreprises détiennent chacune 35 % du projet. Le pionnier de l'éolien en mer, wpd offshore, en détient 30 %.
Le coût total d’investissement est estimé à 2 milliards d'euros, dont la majorité financée par une dette sans recours. Le parc bénéficie d’un contrat d’achat d’électricité (PPA) d’une durée de vingt ans, accordé par l'État en 2018. Ce chantier mobilisera plus de 1.400 emplois locaux, indique le consortium, et les vingt-cinq années d'exploitation génèreront une centaine d’emplois locaux pérennes dans le port de Fécamp.
Le consortium a signé les contrats de fourniture des matériels avec Siemens Gamesa pour les turbines, Bouygues, Saipem et Boskalis pour leurs fondations, et avec les Chantiers de l'Atlantique, GE Grid Solutions et SDI pour la sous-station électrique en mer. RTE, responsable du raccordement, démarrera ses travaux à terre dès ce mois de juin, indique-t-on encore.
Ce parc d'une capacité de 500 mégawatts (MW) produira l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 770.000 personnes, soit plus de 60 % des habitants de Seine-Maritime, affirment les trois entreprises.
Deuxième champ à démarrer
La France accuse un retard de développement dans l'éolien offshore, pour à la fois des difficultés techniques, politiques ou des recours judiciaires. Le parc de Saint-Nazaire devrait être le premier à démarrer, en 2022.
Le projet de Fécamp a été attribué en 2012 par le gouvernement français à EDF, qui s'est associé à l'entreprise de fourniture énergétique canadienne Enbridge. Les deux entreprises détiennent chacune 35 % du projet. Le pionnier de l'éolien en mer, wpd offshore, en détient 30 %.
Le coût total d’investissement est estimé à 2 milliards d'euros, dont la majorité financée par une dette sans recours. Le parc bénéficie d’un contrat d’achat d’électricité (PPA) d’une durée de vingt ans, accordé par l'État en 2018. Ce chantier mobilisera plus de 1.400 emplois locaux, indique le consortium, et les vingt-cinq années d'exploitation génèreront une centaine d’emplois locaux pérennes dans le port de Fécamp.
Le consortium a signé les contrats de fourniture des matériels avec Siemens Gamesa pour les turbines, Bouygues, Saipem et Boskalis pour leurs fondations, et avec les Chantiers de l'Atlantique, GE Grid Solutions et SDI pour la sous-station électrique en mer. RTE, responsable du raccordement, démarrera ses travaux à terre dès ce mois de juin, indique-t-on encore.
