Les avancées de l’association Medlink Ports dont la réputation est à la hausse et les dispositions prises pour favoriser le transport multimodal composent quelques faits intéressants de cette année destinés à renforcer les échanges qui unissent les communautés de transport et de la chaîne logistique de l’axe Méditerranée-Rhône-Saône et en particulier de Lyon et de Marseille-Fos.
Actuellement présidée par Christine Cabau-Woehrel, présidente du directoire du GPMM, Medlink Ports, qui compte huit ports publics fluviaux, le GPMM, le port de Sète, VNF, CNR et dix-neuf membres partenaires, s’enrichit de quatre entreprises ferroviaires en train de finaliser leurs adhésions. "Cette initiative concrétise l’ouverture au ferroviaire que l’association a voulu engager pour dynamiser l’activité des ports de l’axe Méditerranée-Rhône-Saône", observe Fabienne Margail, chef du département hinterland au GPMM. "Le fer vient en complément du fleuve. Il peut être intégré dans des chaînes logistiques massifiées destinées à accroître l’aire d’influences de ces ports". Il permet de prolonger des parcours sur de plus longues distances et d’offrir ainsi aux chargeurs multimodaux un service complet.