
© Marine nationale
Le porte-conteneurs «MSC Flaminia» a finalement reçu vendredi 31 août au soir, le feu vert des autorités allemandes pour faire route vers le port de Wilhelmshaven, où il doit être pris en charge après son accident.
"La société de sauvetage a reçu l'autorisation de l'Allemagne et des États riverains de la Manche pour transiter par les eaux territoriales de l'Angleterre, de France, de Belgique et des Pays-Bas, afin de rejoindre les eaux allemandes", a annoncé le commandement général allemand des urgences maritimes. Le convoi comprenant le «MSC Flaminia» et les remorqueurs de la société néerlandaise Smit Salvage a donc pu commencer sa progression vers l’Allemagne. Il passera au large de Cherbourg samedi 1er septembre.
Le navire de 6.750 EVP battant pavillon allemand affrété par l’armateur italo-suisse MSC avait subi le 14 juillet un incendie suivi d’au moins deux explosions ayant fait un mort et un disparu, alors qu’il naviguait entre le port américain de Charleston et celui du Havre. Il était bloqué dans l'Atlantique dans l'attente d'un port d'accueil, sur fond d'interrogations sur la nature exacte de sa cargaison. Il va finalement pouvoir rallier son pays d'origine après que des inspections ont établi que sa remontée de la Manche ne présentait pas de danger.
"La société de sauvetage a reçu l'autorisation de l'Allemagne et des États riverains de la Manche pour transiter par les eaux territoriales de l'Angleterre, de France, de Belgique et des Pays-Bas, afin de rejoindre les eaux allemandes", a annoncé le commandement général allemand des urgences maritimes. Le convoi comprenant le «MSC Flaminia» et les remorqueurs de la société néerlandaise Smit Salvage a donc pu commencer sa progression vers l’Allemagne. Il passera au large de Cherbourg samedi 1er septembre.
Le navire de 6.750 EVP battant pavillon allemand affrété par l’armateur italo-suisse MSC avait subi le 14 juillet un incendie suivi d’au moins deux explosions ayant fait un mort et un disparu, alors qu’il naviguait entre le port américain de Charleston et celui du Havre. Il était bloqué dans l'Atlantique dans l'attente d'un port d'accueil, sur fond d'interrogations sur la nature exacte de sa cargaison. Il va finalement pouvoir rallier son pays d'origine après que des inspections ont établi que sa remontée de la Manche ne présentait pas de danger.