Le Rhin, atout confirmé pour l’après-Fessenheim

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L’étude d’experts franco-allemands chargée de proposer un scénario de reconversion du territoire proche de la centrale nucléaire imagine des filières d’avenir s’appuyant sur l’infrastructure fluviale.
La reconversion du territoire autour de la centrale nucléaire de Fessenheim n’est pas un long fleuve tranquille. La société mixte d’aménagement franco-allemande, qui devait l’incarner, a été dissoute ce 14 octobre, avant même d’avoir engagé un premier projet. Elle avait vocation à aménager la zone d’activités EcoRhéna située dans l’emprise du port de Colmar-Neuf-Brisach mais la surface réduite à 55 hectares au lieu de plus de 200 hectares selon les premières moutures ne justifie plus de faire appel à elle, estiment les collectivités. Le Syndicat mixte ouvert (SMO) du port s’en chargera en direct. Une avancée a par contre été opérée : l’étude commandée par l'État pour proposer un cadre général à l’avenir du territoire a été bouclée. Présenté début octobre, ce travail d’experts issu du réseau d'universités  transfrontalier franco-germano-suisse Eucor (Strasbourg, Haute-Alsace, Bâle, Fribourg-en-Brisgau et Karlsruhe) propose trois axes : une filière de batteries automobiles, pour…
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