
Le trafic conteneurs a encore progressé en 2012 dans le bassin de la Seine. Il s'agit de la quatrième année de progression consécutive pour ce trafic qui était encore inexistant au milieu des années 90. "Les conteneurs représentent dorénavant le troisième secteur d'activité du bassin de la Seine après les matériaux de construction et les produits agricoles, soit 9,3 % des trafics'", précise Voies navigables de France (VNF).
Un marché partagé entre sept opérateurs
Ce trafic a été initié en 1994 par l'entreprise Logiseine soutenue par les ports du Havre, de Rouen et de Paris qui voulaient ainsi diminuer l'usage de la route pour le transport de ces marchandises. Aujourd'hui, le marché est partagé entre sept opérateurs qui peuvent compter sur un maillage d'une dizaine de ports fluviaux répartis sur la Seine mais aussi l'Oise, la Marne et l'Yonne.
Au total, quelque 23,3 millions de tonnes de marchandises (+ 0,6 % par rapport à 2011) ont transité par le bassin de la Seine en 2012. Outre les conteneurs, les matériaux de construction destinés aux grands chantiers de la région parisienne se sont inscrits à la hausse (+ 2,4 %) tandis que les produits agricoles ont enregistré une baisse (- 9,4 %) tout comme les produits pétroliers (- 14,5 %).
Un marché partagé entre sept opérateurs
Ce trafic a été initié en 1994 par l'entreprise Logiseine soutenue par les ports du Havre, de Rouen et de Paris qui voulaient ainsi diminuer l'usage de la route pour le transport de ces marchandises. Aujourd'hui, le marché est partagé entre sept opérateurs qui peuvent compter sur un maillage d'une dizaine de ports fluviaux répartis sur la Seine mais aussi l'Oise, la Marne et l'Yonne.
Au total, quelque 23,3 millions de tonnes de marchandises (+ 0,6 % par rapport à 2011) ont transité par le bassin de la Seine en 2012. Outre les conteneurs, les matériaux de construction destinés aux grands chantiers de la région parisienne se sont inscrits à la hausse (+ 2,4 %) tandis que les produits agricoles ont enregistré une baisse (- 9,4 %) tout comme les produits pétroliers (- 14,5 %).