Le secrétaire d’État aux Transports a annoncé la nomination, avant le printemps, du député Rémi Pauvros à la présidence de la future société du canal Seine-Nord.
Le député PS du Nord Rémi Pauvros sera le président de la société du canal Seine-Nord, a annoncé le secrétaire d’État aux Transports Alain Vidalies dans un entretien à "La Voix du Nord" mercredi 11 janvier.
"Compte tenu du travail effectué par Rémi Pauvros sur ce dossier, dont je rappelle qu'il était totalement dans l'impasse en 2012, les représentants de l'État au conseil de surveillance soutiendront sa candidature (...). Comme ils sont majoritaires, je peux vous annoncer que Rémi Pauvros sera le président de cette société", a déclaré Alain Vidalies.
Début des travaux imminents
Le nom de l'ancien ministre de l’Écologie Jean-Louis Borloo avait également circulé pour la présidence de cette société. Rémi Pauvros, qui avait rendu un rapport sur ce projet en 2015, devrait être nommé "le 15 mars au plus tard", selon Alain Vidalies.
Cet ouvrage de 107 kilomètres pour un coût estimé à 4,5 milliards d'euros reliera les bassins de la Seine et de l'Oise au réseau européen du nord de l'Europe, devenant une voie à grand gabarit et en partie alternative au trafic routier sur un axe économique de premier plan.
Les premiers travaux, financés majoritairement par l'Union européenne, devant l’État et les collectivités, devraient démarrer "avant la fin de l'année", a précisé Alain Vidalies.
"Compte tenu du travail effectué par Rémi Pauvros sur ce dossier, dont je rappelle qu'il était totalement dans l'impasse en 2012, les représentants de l'État au conseil de surveillance soutiendront sa candidature (...). Comme ils sont majoritaires, je peux vous annoncer que Rémi Pauvros sera le président de cette société", a déclaré Alain Vidalies.
Début des travaux imminents
Le nom de l'ancien ministre de l’Écologie Jean-Louis Borloo avait également circulé pour la présidence de cette société. Rémi Pauvros, qui avait rendu un rapport sur ce projet en 2015, devrait être nommé "le 15 mars au plus tard", selon Alain Vidalies.
Cet ouvrage de 107 kilomètres pour un coût estimé à 4,5 milliards d'euros reliera les bassins de la Seine et de l'Oise au réseau européen du nord de l'Europe, devenant une voie à grand gabarit et en partie alternative au trafic routier sur un axe économique de premier plan.
Les premiers travaux, financés majoritairement par l'Union européenne, devant l’État et les collectivités, devraient démarrer "avant la fin de l'année", a précisé Alain Vidalies.
